Archives de catégorie : Athis-Mons

Ville d’Athis-Mons

Statistiques démographiques. La population essonnienne, gosbienne et mgpienne au 1er janvier 2019

L’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) a publié les valeurs de la population légale millésimée 2016 (date de référence statistique au 1er janvier 2016), en vigueur au 1er janvier 2019. Le département de l’Essonne compte 1 287 330 habitants (population dite « municipale » qui sert notamment de base aux dotations de l’État aux communes). La Métropole du Grand Paris (MGP) compte, elle, 7 056 883 habitants dont 696 430 pour l’établissement public territorial Grand Orly Seine Bièvre (GOSB). Quant la région Ile-de-France, sa population atteint les 12 117 132 habitants. (1)(2)


La population « municipale » essonnienne poursuit sa croissance avec 0,87 % d’augmentation par rapport à la valeur légale 2015 entrée en vigueur au 1er janvier 2018, ce qui continue de placer le département parmi les plus dynamiques d’Ile-de-France avec la Seine-et-Marne. Cette hausse s’explique par un excédent cumulé naturel et migratoire. (3) On assiste depuis quelques années à une poussée immobilière forte dans les secteurs très urbanisés du nord du département et à une croissance économique importante. Ceci n’est pas sans poser de problèmes en matière d’infrastructures et d’équipements communaux, de densification de population, de transports en commun.

L’Essonne compte 196 communes, dont :

  • deux de plus de 50 000 habitants, Évry (54 663 hab. – en hausse) et Corbeil-Essonne (51 049 hab. – en hausse)
  • une entre 40 et 50 000 habitants,  Massy (49 924 hab. – en hausse)
  • six entre 30 et 40 000 habitants, Savigny-sur-Orge (36 307 hab. – stagnation), Sainte-Geneviève-des-Bois (35 859 hab. – stagnation), Palaiseau (34 120 hab. – en hausse), Athis-Mons (33 691 hab. – en hausse),  Vigneux-sur-Seine (31 256 hab. – en hausse) et Viry-Châtillon (30 575 hab. – en baisse).

La commune la moins peuplée de l’Essonne reste Chatignonville avec ses 61 habitants (en hausse).


Les chiffres de l’ancien territoire de la Communauté d’agglomération Les Portes de l’Essonne (CALPE), intégrée au GOSB et à la MGP, au 1er janvier 2019 (valeur légale 2016) :

  • Savigny-sur-Orge : 36 307 hab. – stagnation. Perte d’attractivité réelle, ville dortoir sans tissu économique dynamique, des équipements et des infrastructures en berne, une politique communale sans projet si ce n’est la densification de certains quartiers.
  • Athis-Mons : 33 691 hab. – en forte hausse. Jouit de la proximité de l’aéroport Paris-Orly notamment.
  • Juvisy-sur-Orge : 16 341 hab. – stagnation.  Se dote d’écoquartiers, bénéficie pourtant d’une position nodale en matière de transports en commun.
  • Morangis : 13 566 hab. – en hausse. Projet urbain dynamique tout en gardant son allure de bourgade, lauréate du concours « Inventons la Métropole » avec un programme agri-urbain (agriculture urbaine et maraîchère).
  • Paray-Vieille-Poste : 7 411 hab. – stagnation. Jouit de la proximité de l’aéroport Paris-Orly.
  • Viry-Châtillon : 30 575 hab. – en baisse. Perte d’attractivité ?

Population totale de l’ancienne CALPE = 137 891 habitants, soit un accroissement de 0,86 % par rapport à la population légale 2015 en vigueur au 1er janvier 2018.


Les chiffres de la population de l’établissement public territorial Grand Orly Seine Bièvre (GOSB, 24 communes) au 1er janvier 2019 (valeur légale 2016) :

  • Ablon-sur-Seine (Val-de-Marne) : 5 785 hab. – en hausse.
  • Arcueil (Val-de-Marne) : 21 567 hab.- en hausse.
  • Athis-Mons (Essonne) : 33 691 hab. – en hausse.
  • Cachan (Val-de-Marne) : 30 208 hab. – en baisse.
  • Chevilly-Larue (Val-de-Marne) : 19 347 hab. – en hausse.
  • Choisy-le-Roi (Val-de-Marne) : 44 450 hab. – en hausse (4e commune du GOSB).
  • Fresnes (Val-de-Marne) : 27 416 hab. – en hausse.
  • Gentilly (Val-de-Marne) : 17 442 hab. – en hausse.
  • Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne) : 60 771 hab. – en hausse (2e commune du GOSB).
  • Juvisy-sur-Orge (Essonne) : 16 341 hab. – stagnation.
  • L’Haÿ-les-Roses (Val-de-Marne) : 31 189 hab. – en hausse.
  • Le Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne) : 25 292 hab. – en baisse.
  • Morangis (Essonne) : 13 566 hab. – en hausse.
  • Orly (Val-de-Marne) : 23 378 hab. – en hausse.
  • Paray-Vieille-Poste (Essonne) : 7 411 hab. – stagnation.
  • Rungis (Val-de-Marne) : 5 610 hab. – stagnation.
  • Savigny-sur-Orge (Essonne) : 36 307 hab. – stagnation (5e commune du GOSB).
  • Thiais (Val-de-Marne) : 29 006 hab. – en hausse.
  • Valenton (Val-de-Marne) : 14 858 hab. – en hausse.
  • Villejuif (Val-de-Marne) : 55 478 hab. – en baisse (3e commune du GOSB).
  • Villeneuve-le-Roi (Val-de-Marne) : 21 021 hab. – en hausse.
  • Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) : 32 966 hab. – en baisse.
  • Viry-Châtillon (Essonne) : 30 575 hab. – en baisse.
  • Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) : 92 755 hab. – en hausse (1ère commune du GOSB).

Population totale du GOSB = 696 430 habitants, soit un accroissement de 0,63 % par rapport à la population légale 2015 en vigueur au 1er janvier 2018.


Les chiffres de la population de la Métropole du Grand Paris (MGP, 131 communes) au 1er janvier 2019 (valeur légale 2016) :

  • Paris : 2 220 445 hab. – en baisse.
  • Hauts-de-Seine : 1 603 268 hab. – en hausse.
  • Seine-Saint-Denis : 1 606 660 hab. – en hausse.
  • Val-de-Marne : 1 378 151 hab. – en hausse.
  • 6 communes de l’Essonne (ancienne CALPE) : 137 891 hab. – en hausse.
  • 1 commune du Val-d’Oise (Argenteuil) : 110 468 hab. – en hausse.

Population totale de la MGP = 7 056 883 habitants, soit un accroissement de 0,52 %  par rapport à la population légale 2015 en vigueur au 1er janvier 2018.


RÉFÉRENCES
1. INSEE, Recensement de la population. Populations légales en vigueur à compter du 1er janvier 2019. 91-Essonne, décembre 2018,  14 p. (pdf) :
insee-91-essonne-pop-2019 v 2016.
2. Voir le site de l’INSEE pour la population légale en vigueur à compter du 1er janvier 2019 de Paris (75), des Hauts-de-Seine (92), de la Seine-Saint-Denis (93), du Val-de-Marne (94) et du Val-d’Oise : https://www.insee.fr/fr/statistiques/3681457.
3. INSEE, « Population légale de l’Ile-de-France, 12 117 132 habitants au 1er janvier 2016 », Insee Flash n° 36, décembre 2018, 2 p. (pdf) : Insee flash 36.

© Marie LAPEIGNE, mis en ligne le 29 décembre 2018, 19 h 00.

Portes de l’Essonne Environnement
http://portes-essonne-environnement.fr
Média numérique ISSN 2495-1161. Dépôt légal du numérique, BNF 2018.

Communes et intercommunalités. La démocratie locale est-elle une « démocratie de décision » ou une « démocratie de voeux » ?

Juvisy-sur-Orge, Savigny-sur-Orge, Viry-Châtillon : trois communes indécises à l’égard de l’intercommunalité du GOSB

L’établissement public territorial (EPT) Grand Orly Seine Bièvre est la nouvelle intercommunalité créée le 1er janvier 2016, regroupant 24 communes des départements de l’Essonne et du Val-de-Marne. Depuis maintenant plus de deux ans, son assemblée délibérante, le conseil territorial – qui comprend 92 membres – se réunit périodiquement en séance publique à son siège, à l’Hôtel de Ville de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) pour voter des délibérations qui s’appliquent à 700 000 habitants.

Parmi les communes membres, siégeant régulièrement, figurent les quatre commune d’Athis-Mons (30 000 habitants), de Juvisy-sur-Orge (15 000 habitants), de Savigny-sur-Orge (37 000 habitants) et de Viry-Châtillon (31 000 habitants). Ces quatre communes totalisent plus de 100 000 habitants.


Une adhésion volontaire peut-elle devenir une contrainte deux ans après ?

Ces quatre communes disent aujourd’hui – en 2018 – qu’elles ont été « contraintes » – en 2016 – de rejoindre le GOSB. Il ne faut pas oublier que ces quatre communes, guidées par leurs maires respectifs, se sont engagées volontairement dans l’adhésion au GOSB en 2016. Elles l’ont votée. Et de 2016 à 2018, pendant plus de deux ans, elles y ont siégé, sans avoir remis en cause, à aucun moment ni le GOSB, ni leur présence.

Démocratie locale : les nouveaux territoires se déchirent. © Photographie CAD/BM pour PEE, 2018.


La bande des quatre ou la bande des trois ?

Les quatre conseils municipaux d’Athis-Mons, de Juvisy-sur-Orge, de Savigny-sur-Orge et de Viry-Châtillon étaient convoqués chacun ce même mercredi 11 avril 2018 pour voter un même voeux intitulé : « Voeu pour une recomposition territoriale intercommunale ». On doit dire « étaient convoqués », puisque la commune d’Athis-Mons a annulé la réunion de son conseil municipal pour le reporter comme l’indique son site officiel, au 13 juin 2018, soit dans deux mois. La question ne doit pas être très urgente.

Athis-Mons. Le conseil municipal du 11 mars 2018 est annulé. Il est reporté au 13 juin 2018, soit deux mois après. Capture d’écran effectuée le 13 avril 2018.


La nouvelle démocratie locale est-elle celle des décisions, ou bien celle des « voeux » et des « motions » ?

Le conseil municipal de Savigny-sur-Orge s’est réuni  en séance publique le mercredi 11 avril à 20 heures. A son ordre du jour figurait le « Voeu pour la recomposition intercommunale » (Point n°2).

Cet ordre du jour comporte 6 points, il est révélateur du tournant institutionnel pris par l’intercommunalité : mis à part le premier point, tous les autres (soit 5 sur 6) sont constitués par des « voeux » ou des « motions ». Ce qui ne s’était jamais vu. On notera que l’assemblée communale, composée de 39 membres, ne se réunit plus pour voter des délibérations, constituant des décisions, mais pour voter des « motions » et des « voeux ». On doit y voir la manifestation publique d’une perte des compétences effectives des assemblées municipales au profit d’autres assemblées intercommunales et métropolitaines.

Ainsi, la séance du conseil municipal de Savigny-sur-Orge du mercredi 11 avril 2018 se résume à 2 « vœux » et 3 « motions » :

  • Vœu pour une recomposition territoriale intercommunale.
  • Motion commune des villes d’Athis-Mons, Juvisy-sur-Orge, Savigny-sur-Orge et Viry-Châtillon contre la privatisation de l’entreprise Aéroports de Paris.
  • Motion commune des villes d’Athis-Mons, Juvisy-sur-Orge, Savigny-sur-Orge et Viry-Châtillon contre la fermeture du site hospitalier de Juvisy-sur-Orge.
  • Motion du conseil municipal de Savigny-sur-Orge relatif aux compteurs de type Linky pour la reconnaissance d’un droit au choix des abonnés Saviniens.
  • Vœu du conseil municipal de Savigny-sur-Orge pour le renforcement des transports du quotidien.

Conseil municipal de Savigny-sur-Orge, Séance du 11 avril 2018, Convocation, ordre du jour et notes de synthèses, p.1 Texte complet en pdf : MSSO CM 11-04-2018 ODJ (1)

Le paradoxe est que les conseils municipaux, loin de recouvrer une indépendance, sont amenés à voter des voeux et des motions conjointement avec d’autres communes, contre le regroupement avec d’autres communes… Le citoyen a du mal à comprendre ce qui se passe, sinon que cette situation témoigne d’une absence de visions territoriales claires quant à leur superficie.


Composition, décomposition, recomposition.

On lira le projet de délibération appelant à une « recomposition territoriale intercommunale ». Certains regrettent qu’il ait fallu plus de deux ans pour qu’elle soit formulée. Le désir de territoire est un triple désir. C’est d’abord le désir de pouvoir de l’État qui se heurte à un autre, le désir des pouvoirs locaux. Le seul problème, qui est de taille, est qu’il méconnaît complétement le désir citoyen, tiers exclu de ces manoeuvres territoriales.  Jusqu’à quand ?

« Juvisy-sur-Orge, Viry-Châtillon et Savigny-sur-Orge veulent quitter leur intercommunalité géante », Le Parisien Essonne, 11 avril 2018.


RÉFÉRENCES

1. Commune de Savigny-sur-Orge, Conseil municipal du 11 avril 2018, Convocation, ordre du jour et notes de synthèse adressés aux membres du Conseil municipal, 9 p. Texte complet en pdf : MSSO CM 11-04-2018 ODJ
2. « Juvisy-sur-Orge, Viry-Châtillon et Savigny-sur-Orge veulent quitter leur intercommunalité géante », Le Parisien Essonne, 11 avril 2018. Article de Laurent DEGRADI.

LÉGENDES DES PHOTOGRAPHIES ET DES DOCUMENTS

  • Démocratie locale : les nouveaux territoires se déchirent. © Photographie CAD/BM pour PEE 2018.
  • Athis-Mons. Le conseil municipal du 11 mars 2018 est annulé. Il est reporté au 13 juin 2018.
  • Conseil municipal de Savigny-sur-Orge, Séance du 11 avril 2018, Convocation, ordre du jour et notes de synthèses, p.1 Texte complet en pdf : MSSO CM 11-04-2018 ODJ.
  • « Juvisy-sur-Orge, Viry-Châtillon et Savigny-sur-Orge veulent quitter leur intercommunalité géante », Le Parisien Essonne, 11 avril 2018.

Articles en ligne sur http://portes.essonne-environnement.fr


© Marie LAPEIGNE, 13 avril 2018, 18 h 00

ISSN 2495-1161. Dépôt légal du numérique, BNF 2018.
http://portes-essonne-environnement.fr

 

MGP. Aux origines du Grand Paris, 130 ans d’histoire (1886-2016)

La Maison de Banlieue et de l’architecture (MDBA) d’Athis-Mons (1) présente du 13 septembre au 20 décembre 2017 une exposition sur le Grand Paris. Une occasion de prendre connaissance des étapes institutionnelles traversées par l’évolution des structures territoriales dans lesquelles nous vivons et de réfléchir sur leur avenir.

Aux origines du Grand Paris : 130 ans d’histoire (1886-2016) est une exposition coproduite par le Musée d’Histoire urbaine et sociale de Suresnes (MUS) et l’Atelier international du Grand Paris (AIGP) en 2016. Elle retrace, à partir de documents graphiques, de photographies, de plans, de tableaux, ou encore de films et d’objets venus de toute l’Ile-de-France, les différentes étapes qui ont donné naissance à la métropole d’aujourd’hui.

« Aux origines du Grand Paris, 130 ans d’histoire », Affiche de l’exposition présentée du 12 octobre 2016 au 28 mai 2017 à Suresnes.


L’exposition montre que le Grand Paris est né dès le milieu du XIXe siècle. La préfiguration du concept de métropole a été développée par Henri SELLIER et André MORIZET au début du XXe siècle, pour aboutir à la création, par la loi, de la Métropole du Grand Paris (MGP) le 1er janvier 2016. Elle présente :

  • les enjeux du projet de Grand Paris actuel à travers une approche historique et chronologique,
  • l’évolution de l’emprise de Paris sur son territoire,
  • les conceptions successives des limites de la Ville de Paris,
  • les différents projets d’aménagement de la ceinture de Paris.

Reconnue d’intérêt national par le Ministère de la Culture et de la Communication, la Direction générale des Patrimoines, le Service des musées de France, cette exposition a bénéficié d’un soutien financier de l’État. Sa scénographie a été réalisée par l’Atelier TILDE Mathilde Bardel & Atelier AP2 Philippe Papy, Direction artistique, graphisme, architecture et urbanisme.


RÉFÉRENCES

1. Maison de Banlieue et de l’Architecture (MDBA), Centre d’interprétation de l’environnement urbain, du patrimoine de banlieue et de l’architecture, 41 rue Geneviève Anthonioz de Gaulle, 91200 Athis-Mons.

Documents écrits

  • Musée d’histoire urbaine et sociale de Suresnes (MUS), « Aux origines du Grand Paris, 130 ans d’histoire », Le Journal, n° 3, 20 p. Exposition présentée du 12 octobre 2016 au 28 mai 2017 (pdf) : JOURNAL_MUS_GParis_web2009 vers def 21092016.pdf (2,55 Mo)
  • CORTEVILLE Julie et DEGUILLAUME Marie-Pierre, Aux Origines du Grand Paris, 130 ans d’histoire, Suresnes (Musée d’Histoire urbaine et sociale) et Paris (Région d’Ile-de-France), 2016.

Ce livre accompagne l’exposition d’intérêt national présentée au Musée d’Histoire urbaine et sociale de Suresnes (MUS) en 2016/2017. Le Grand Paris est une succession de lois, de dispositifs, de projets oubliés et d’utopies, d’aménagements parfois retardés ou abandonnés. C’est aussi une réalité vécue au travers de mots mythiques : la zone, les « fortifs », les villes nouvelles, les cités-jardin, ou bien abandonnés.. Historiens, ethnologues, archivistes et habitants donnent sens à ces mots.

Aux origines du Grand Paris

Aux Origines du Grand Paris, 130 ans d’histoire, de Julie CORTEVILLE et Marie-Pierrre DEGUILLAUME, 2016.

Vidéos

Cette vidéo a été conçue par l’AIGP pour être présentée au Musée d’Histoire Urbaine et Sociale de Suresnes (MUS), dont on consultera le site, dans le cadre de l’exposition « Aux Origines du Grand Paris, 130 ans d’histoire » . Elle retrace l’histoire de la construction du Grand Paris dans sa période récente et tente de répondre aux questions suivantes :

•  Pourquoi construire le Grand Paris ?
•  Quelles ont été les premières étapes de sa construction ?
•  Comment s’organise sa gouvernance aujourd’hui ?
•  Que va-t-il changer avec l’arrivée du Grand Paris Express ?

La réalisation a été faite à partir des travaux du Conseil Scientifique de l’AIGP, de cartes et de photographies produites à l’AIGP, sur le modèle de l’émission Le Dessous des Cartes diffusée par Arte.

Documents sur la Métropole du Grand Paris

  • Atelier parisien d’urbanisme (APUR) et Institut d’aménagement et d’urbanisme (IAU), Regroupements intercommunaux de l’agglomération parisienne au 1er janvier 2016. Premiers éléments cartographiques, Paris Métropole, tome 1, janvier 2016, 26 p.
  • Atelier parisien d’urbanisme (APUR) et Institut d’aménagement et d’urbanisme (IAU), Regroupements intercommunaux de l’agglomération parisienne au 1er janvier 2016. Les dynamiques communales, Paris Métropole, tome 2, janvier 2016, 36 p.

© Marie LAPEIGNE, Bernard MÉRIGOT, 6 septembre 2017, 18 h 10.

ISSN 2495-1161. Dépôt légal du numérique, BNF 2017.
http://portes-essonne-environnement.fr

GOSB. L’établissement public territorial n° 12 se réunit en séance publique le 27 juin 2017

Le prochain conseil territorial de Grand Orly Seine Bièvre (GOSB, 24 communes, 686 416 habitants) se réunit en séance publique le mardi 27 juin 2017, à 19 heures, à Vitry-sur-Seine. (1) : 85 questions figurent à l’ordre du jour.

GOSB, « Avis de convocation du conseil territorial. Mardi 27 juin 2017 à 19h00 », Ordre du jour, pp 1-2/4.

GOSB, « Avis de convocation du conseil territorial. Mardi 27 juin 2017 à 19h00 », Ordre du jour, pp 3-4/4.

RÉFÉRENCE
1. GOSB, « Avis de convocation du conseil territorial. Mardi 27 juin 2017 à 19h00 », Ordre du jour, 4 p.

© Paul-André BEAUJEAN, 25 juin 2017, 15 h 30.

ISSN 2495-1161. Dépôt légal du numérique, BNF 2017.

Aéroport d’Orly. Réunion publique à Athis-Mons sur les travaux d’été 2017 sur les pistes

Une réunion publique se tiendra le lundi 29 mai 2017 à 19 h 30 à la salle Curie, place du Général de Gaulle, à Athis-Mons, concernant les travaux estivaux de l’Aéroport Paris-Orly.

Elle est organisée par le groupe Aéroports de Paris (Maison de l’environnement et du développement durable de Paris-Orly). Elle porte sur les « travaux estivaux » qui se dérouleront du 25 juillet au 31 août 2017 sur la piste 4 de l’aéroport Paris-Orly. Le report du trafic aérien se fera sur les autres pistes, y compris la piste 2 (dite de secours). Plusieurs communes seront survolées durant cette période alors qu’elles ne le sont pas en temps normal.

« Réunion publique Travaux estivaux aéroport Paris-Orly présentés par le groupe Aéroports de Paris (ADP) », lundi 29 mai 2017 à 19 H 30, Salle Curie, place du Général de Gaule, Athis-Mons, Tract format 42 x 21 cm. Fonds Portes de l’Essonne Environnement, 2017.

© Paul-André BEAUJEAN, 28 mai 2017, 7 heures.

ISSN 2495-1161. Dépôt légal du numérique, BNF 2017.