Il existe une «expertise» des enseignants et des élèves, de la maternelle à la terminale, concernant le développement durable. Celui-ci n’est pas seulement un thème – parmi d’autres – Inscrit dans les programmes officiels de l’enseignement. Il possède un statut particulier qui fait de lui à la fois un concept théorique et un concept opératoire, aboutissant à des pratiques et à des savoir-faire. Au-delà du caractère obligatoire qu’il possède, il donne lieu à des initiatives pédagogiques volontaires qui vont jusqu’à l’engagement militant. C’est à partir de cette réalité que le Réseau Éducation au développement durable de l’Essonne (REDDE) a organisé au Domaine départemental de Chamarande une journée dont l’objet était «Mener un projet d’éducation au développement durable (EEDD) au sein d’un établissement » .
Au cours de la séance plénière introductive plusieurs partenaires sont intervenus : le Département de l’Essonne (service du Développement durable), les Services départementaux de l’Éducation nationale, le Canopé, la Mutuelle générale de l’éducation nationale (MGEN), le Parc naturel du Gâtinais français, l’association TERAGIR / Éco-École, le CPN Val-de-Seine, la Génération écoresponsable, Francas d’Ile-de-France.
- La délégation académique à l’action culturelle est en charge des projets concernant le patrimoine, la culture scientifique et technique, le design, le développement durable et les arts du goût.
- Éducation à l’environnement et au développement durable (EEDD).
© Bernard MÉRIGOT, 12 mai 2017, 14 heures.
ISSN 2495-1161. Dépôt légal du numérique, BNF 2017