Aéroport d’Orly. Interview du directeur Frank MEREYDE : les travaux 2017 (2e partie)

Portes de l’Essonne Environnement (PEE), dans le cadre de son partenariat avec Territoires et démocratie numérique locale (TDNL), média numérique collaboratif et associatif, vous présente un entretien inédit qui a eu lieu le jeudi 11 mai 2017 avec Frank MEREYDE, directeur de l’aéroport Paris-Orly.  Au cours de cet entretien, cinq questions ont été abordées. (1)

  • 1. Nature des travaux sur la piste 4 (2)(3)
  • 2. Nuisances
  • 3. Augmentation des survols
  • 4. Limites de la capacité de l’aéroport
  • 5. Territoires limitrophes

Franck MEREYDE, directeur le l’aéroport Paris-Orly lors de la réunion publique « Travaux estivaux Aéroport Paris-Orly » le vendredi 12 mai 2017 à Viry-Châtillon. © Photographie BM/CAD pour PEE, 2017.


2. Nuisances. En raison de la fermeture de la piste 4, les avions ont été reportés sur les pistes 3 et 2 en juillet et août 2016. Des communes ont été survolées en continu pendant cette période alors qu’elles ne l’étaient pas le reste de l’année. Ces nuisances nouvelles ont provoqué de nombreuses protestations des habitants riverains et de leurs élus. Quelles sont les marges de manœuvre qui permettraient de réduire ces nuisances ?

« Le choix qui a été fait lors de l’élaboration des cahiers des charges des travaux a été de fixer comme priorité des délais les plus courts possibles pour l’exécution des chantiers » indique Frank MEREYDE. Paris-Aéroport (groupe ADP) s’est « engagé en 2016 à tenir les délais de travaux et à respecter le couvre-feu de l’aéroport. » Ce qui a été plus ou moins tenu puisque les travaux se sont achevés certes « avec une journée d’avance » mais des ajustements ont été opérés la semaine suivant le terme des travaux. « En six semaines de chantier, il n’y a eu que quatre dérogations de moins de 15 minutes au couvre-feu. »

« D’autres aéroports ont privilégié la recherche de coûts les moins élevés possibles, ce qui a eu pour effet d’allonger la durée des travaux. » Cela n’est pas le cas d’Aéroport de Paris. Lorsque deux équipes intervenaient, il y en avait une troisième qui était prête à intervenir en secours avec du matériel pour pallier tout incident. « En 2016, nous avons mobilisé 600 personnes réparties sur 40 chantiers différents qui se sont déroulés simultanément. Pour gagner du temps, nous avons mobilisé la plus importante centrale à béton d’Europe. »

Reste-t-il des marges de manœuvre pour minimiser l’impact des travaux ? « Nous sommes conscients des réactions des populations qui ne sont pas survolées en permanence. En fait, les marges existantes ont été utilisées en amont lors de l’élaboration des cahiers des charges. » Quant à l’idée émise par des associations et par des élus de consulter les habitants sur le choix dans l’année de la période de travaux, « elle se heurte au choix initial qui est d’intervenir durant la période d’absence de brouillard ». Tout autre période augmente « le risque de rencontrer des journées avec brouillard et de retarder à la fois les travaux, les décollages et les atterrissages des 100 000 passagers quotidiens. »

RÉFÉRENCES
1. Les cinq questions abordées le 11 mai 2017 ont été les suivantes :

  • 1. Nature des Travaux. L’aéroport Paris-Orly a entrepris un programme de travaux sur les pistes durant quatre années à compter de 2016. Y a-t-il une différence concernant la nature des travaux prévus en 2017 par rapport à ceux de 2016 ? Quels sont ces travaux précisément ?
  • 2. Nuisances. En raison de la fermeture de la piste 4, les avions ont été reportés sur les pistes 3 et 2 en juillet et août 2016. Des communes ont été survolées en continu pendant cette période alors qu’elles ne l’étaient pas le reste de l’année. Ces nuisances nouvelles ont provoqué de nombreuses protestations des habitants riverains et de leurs élus. Quelles sont les marges de manœuvre qui permettraient de réduire ces nuisances ?
  • 3. Augmentation des survols. Des habitants des communes de la Vallée de l’Orge témoignent qu’indépendamment des survols liés directement à des décollages ou à des atterrissages à Orly, il y aurait davantage de survols, à d’autres altitudes, générant des nuisances sonores importantes, notamment la nuit. Y a-t-il eu une modification de l’ensemble des trajectoires à la suite des travaux de l’été 2016 tant sur Orly que Roissy ?
  • 4. Limites de la capacité de l’aéroport. L’aéroport d’Orly accueille un nombre de passagers en augmentation (31 237 en 2016, soit + 5,5 % par rapport à 2015). Depuis sa création, il est enserré dans un espace fortement urbanisé qui empêche toute extension. Une troisième aérogare est en cours de construction (bâtiment de jonction entre les aérogares Ouest et Sud). Paris-Orly s’est-il fixé un seuil de passagers à ne pas dépasser ou vise-t-il le « no-limit » dans son extension ? Comment envisage-t-il la limitation des nuisances globales liées à ses activités ?
  • 5. Territoires limitrophes. L’organisation des collectivités territoriales a évolué depuis le 1er janvier 2016 avec la création de la Métropole du Grand Paris (131 communes), de l’Établissement public territorial Grand Orly Seine Bièvre (EPT 12, 24 communes). Les communes se voient privées de l’exercice direct de compétences (urbanisme, environnement, etc.) qu’elles exerçaient auparavant. Les citoyens se trouvent de plus en plus éloignés des lieux de décision. Comment les établissements exerçant un service public comme l’Aéroport d’Orly tiennent-ils compte de cette situation nouvelle ?

2. Cette publication fait suite au premier article : Bernard MÉRIGOT, « Aéroport d’Orly. Interview du directeur Franck MEREYDE : les travaux 2017 (1ère partie)« , www.portes-essonne-environnement.fr, 11 mai 2017.
3. Articles sur les travaux 2017 en ligne sur www.portes-essonne-environnement.fr :

© Bernard MÉRIGOT, 25 mai 2017, 18 heures. A suivre…

ISSN 2495-1161. Dépôt légal du numérique, BNF 2017.

Aéroport d’Orly. Retour sur la réunion publique de Viry-Châtillon sur les nuisances

« Nous sommes conscients des gênes que nous causons. » a déclaré Franck MEREYDE, directeur de l’aéroport d’Orly, en évoquant les travaux sur les pistes durant les mois de juillet et d’août 2016 et qui se renouvelleront cette année, lors de la réunion publique de ce 12 mai 2017 à Viry-Châtillon.

Les nuisances subies dans leur vie quotidienne par les habitants ont deux réalités : celle de faits objectifs, avec leurs causes, et celle du discours, des paroles prononcées, des phrases écrites, qu’il s’agisse de plaintes de riverains et d’usagers, ou de reconnaissances, de dénégations et de justifications avancées par les autorités.

Mais comprenons-nous réellement ce qui se joue dans les réunions publiques portant sur des problèmes locaux ?

Jean-Marie VILAIN, maire de Viry-Châtillon, et Frank MEREYDE, directeur de l’aéroport Paris-Orly, lors de la réunion publique sur les travaux estivaux 2017 qui s’est tenue le vendredi 12 mai 2017 au Gymnase du Bellay à Viry-Châtillon. © Photographie CAD/BM pour PEE.


De l’importance de l’explicite et de l’implicite

Lors d’une réunion publique, il y a des choses explicites et des choses implicites. Pour une raison simple : un face-à-face entre élus et électeurs, administrés et administrateurs, usagers et prestataires, clients et fournisseurs… est toujours traversé par des lignes de force de natures inégales, qui pré-déterminent leur issue. Le rôle de chacun est en quelque sorte auto-défini.

  • D’abord, les conditions matérielles et techniques d’organisation : le choix de la salle, la disposition des chaises, la présence d’une table faisant face à l’auditoire, l’écran sur lequel est projeté un inévitable PowerPoint (diaporama), les micros…
  • Ensuite, l’auditoire composé ici d’une cinquantaine de personnes de Viry-Châtillon, de Savigny-sur-Orge, de Vilemoisson-sur-Orge, et d’autres communes, réparties sur trois cent chaises. Et puis les élus présents (Robin REDA,  maire de Juvisy-sur-Orge), deux conseillers municipaux (Bernard BLANCHAUD et Pierre GUYARD de Savigny-sur-Orge).  Et enfin les élus absents (Éric MEHLHORN, maire de Savigny-sur-Orge, Christine RODIER, maire d’Athis-Mons…). Homogénéité et hétérogénéité des auditoires et des acteurs.
  • Enfin, le tour de la parole. Trois parties : Jean-Marie VILAIN, maire de Viry-Châtillon qui introduit, Frank MEREYDE qui fait l’exposé, et enfin le public qui pose des questions.

Retour de chantier

Au cours de la réunion une vidéo « Rénover la piste 4 de l’Aéroport d’Orly en cinq semaines ! » portant sur les travaux de l’été 2016 a été projetée. Elle est en ligne sur le site Internet YouTube. (1)

Capture d’écran du site Internet Youtube effectuée le 15 mai 2017 : vidéo « Rénover la piste 4 de l’aéroport de Paris-Orly en 5 semaines ! », mis en ligne le 8 novembre 2016 (durée 4:54) : https://www.youtube.com/watch?v=VxidePQMS8g .


L’after

Et puis, il existe un après de la réunion par les articles qui en rendent compte. On notera à la fois le décalage et l’accentuation de sens apporté par les deux titres différents du même article du Parisien. (2) D’abord celui de la version numérique (les habitants interpellent), puis celle de la version papier (les habitants ne veulent pas). Ils offrent deux formulations décalées. On notera qu’aucune association n’est intervenue en tant que telle lors de la réunion. (3)

Frank MEREYDE, directeur de l’aéroport Paris-Orly, et Jean Marie VILAIN. Réunion publique sur les travaux estivaux 2017 qui s’est tenue le vendredi 12 mai 2017 au Gymnase du Bellay à Viry-Châtillon. © Photographie BM/CAD pour PEE.


RÉFÉRENCES
1. « Rénover la piste 4 de l’Aéroport d’Orly en cinq semaines ! », Video de 4 minutes 55, 8 novembre 2016,
https://www.youtube.com/watch?v=VxidePQMS8g.
2. COSSON Nolwenn, « Nuisances aériennes : les habitants de Viry-Châtillon interpellent le patron d’Orly », www.leparisien.fr, 12 mai 2017 :
http://www.leparisien.fr/viry-chatillon-91170/nuisances-aeriennes-les-habitants-de-viry-interpellent-le-patron-d-orly-12-05-2017-6944067.php.
COSSON Nolwenn, « Les habitants ne veulent pas d’un nouvel été sous les avions », Le Parisien Essonne, 13 mai 2017, p. I (pdf) : LPE ORLY COSSON 13 mai 2017.
3. VAGNEUX Olivier, « À la réunion d’information du 12 mai  sur les travaux d’ADP en 2017 et 2019 (Viry-Châtillon) », Le Savinien libéré, 13 mai 2017 : https://oliviervagneux.wordpress.com/2017/05/13/a-la-reunion-dinformation-du-12-mai-sur-les-travaux-dadp-en-2017-et-2019-viry-chatillon/.

© Bernard MÉRIGOT, 15 mai 2017, 23 heures.

ISSN 2495-1161. Dépôt légal du numérique, BNF 2017.

 

GOSB. L’établissement public territorial n° 12 se réunit en séance publique

Les conseils territoriaux des établissements publics territoriaux (EPT) prennent de plus en plus de décisions au détriment des conseils municipaux des communes. Normal : ce sont les effets des transferts de compétences qui dépossèdent de plus en plus les communes au profit des intercommunalités.

Le prochain conseil territorial de Grand Orly Seine Bièvre (GOSB, 24 communes, 686 416 habitants) se réunit en séance publique le mardi 16 mai 2017, à 19 heures, à Vitry-sur-Seine. (1) Quinze questions figurent à l’ordre du jour. On notera les suivantes :

  • Approbation du Protocole de préfiguration des projets de renouvellement urbain de Grigny et Viry-Chatillon Grande Borne / Plateau et Grigny 2.
  • Renouvellement de la convention de partenariat Clauses d’insertion EPT Grand-Orly Seine Bièvre – AEF 94 (Actions Emplois Formations), association spécialisée dans l’accompagnement individuel des demandeurs d’emploi dans le Val-de-Marne.
  • Candidature de l’EPT Grand-Orly Seine Bièvre pour un mandat d’administrateur d’Immobilière 3F sur la période 2017-2020.
  • Convention cadre avec Action Logement.
  • Arrêt du projet de Plan Local d’Urbanisme de la commune de Fresnes et bilan de la concertation.
  • Convention de co-financement dans le cadre de l’extension de l’écocentre de Morangis (Siredom/EPT 12).
  • Convention avec le SYCTOM pour la mise en œuvre d’un dispositif expérimental de conteneurisation, collecte et traitement des biodéchets.
  • Élaboration d’un Programme local de prévention des déchets ménagers et assimilés.

RÉFÉRENCE
1. GOSB, « Avis de convocation du conseil territorial. Mardi 16 mai 2017 à 19h00 », Ordre du jour, 2 p. (pdf) : Avis de convocation et ordre du jour Conseil territorial du 16 mai 2017.
A noter la lenteur du service de presse du Grand Orly Seine Bièvre pour diffuser à la presse un avis qui aurait dû être rendu public au moins cinq jours avant la séance : leur communiqué de presse a été reçu par mail ce 15 mai 2017 à 16h54. Quel manque de transparence et de bienséance ! Heureusement que la presse et les administrés attentifs ne l’attendent pas pour rendre public les ordres du jour…

© Paul-André BEAUJEAN, 15 mai 2017, 16 heures.

ISSN 2495-1161. Dépôt légal du numérique, BNF 2017.

 

Développement durable. Ressources pour les collèges et les lycées

Il existe une «expertise» des enseignants et des élèves, de la maternelle à la terminale, concernant le développement durable. Celui-ci n’est pas seulement un thème – parmi d’autres – Inscrit dans les programmes officiels de l’enseignement. Il possède un statut particulier qui fait de lui à la fois un concept théorique et un concept opératoire, aboutissant à des pratiques et à des savoir-faire.  Au-delà du caractère obligatoire qu’il possède, il donne lieu à des initiatives pédagogiques volontaires qui vont jusqu’à l’engagement militant. C’est à partir de cette réalité que le Réseau Éducation au développement durable de l’Essonne (REDDE) a organisé au Domaine départemental de Chamarande une journée dont l’objet était «Mener un projet d’éducation au développement durable (EEDD) au sein d’un établissement » .

Réseau Éducation au développement durable de l’Essonne. « Mener un projet d’éducation au développement durable (EDD) ». Réunion du 10 mai 2017 du REDDE, Domaine départemental de Chamarande. © Photographie BM/CAD pour PEE.

Au cours de la séance plénière introductive plusieurs partenaires sont intervenus : le Département de l’Essonne (service du Développement durable), les Services départementaux de l’Éducation nationale, le Canopé, la Mutuelle générale de l’éducation nationale (MGEN), le Parc naturel du Gâtinais français, l’association TERAGIR / Éco-École, le CPN Val-de-Seine, la Génération écoresponsable, Francas d’Ile-de-France.

Réseau Éducation au développement durable de l’Essonne. Francis CHAVANNE, professeur Sciences de la vie et de la terre (SVT) au collège Jean-Zay de Morsang-sur-Orge, présente les travaux de ses élèves à Pascale CURNIER, de la délégation à l’action culturelle de l’Académie de Versailles, au cours de la journée du consacré au thème « Mener un projet d’éducation au développement durable (EDD)» le 10 mai 2017 au Domaine départemental de Chamarande. © Photographie BM/CAD pour PEE.

  • La délégation académique à l’action culturelle est en charge des projets concernant le patrimoine, la culture scientifique et technique, le design, le développement durable et les arts du goût.
  • Éducation à l’environnement et au développement durable (EEDD).

© Bernard MÉRIGOT, 12 mai 2017, 14 heures.

ISSN 2495-1161. Dépôt légal du numérique, BNF 2017

Aéroport d’Orly. Interview du directeur Franck MEREYDE : les travaux 2017 (1ère partie)

Portes de l’Essonne Environnement (PEE), dans le cadre de son partenariat avec Territoires et démocratie numérique locale (TDNL), média numérique collaboratif et associatif (1), vous présente un entretien inédit qui a eu lieu le jeudi 11 mai 2017 avec Frank MEREYDE, directeur de l’aéroport Paris-Orly. Au cours de cet entretien, cinq questions ont été abordées.

  • 1. Nature des travaux sur la piste 4 (2)(3)
  • 2. Nuisances
  • 3. Augmentation des survols
  • 4. Limites de la capacité de l’aéroport
  • 5. Territoires limitrophes

Premier thème abordé : les travaux sur la piste 4. (2)

Aéroport d’Orly. Entrée de la direction générale, Aérogare Sud, Porte L. © Photographie BM/CAD pour PEE, 11 mai 2017.


La nature des travaux de l’été 2016 et de l’été 2017

L’aéroport d’Orly a entrepris un programme de travaux sur les pistes durant quatre années (2016, 2017, 2018, 2019). Y a-t-il une différence concernant la nature des travaux prévus en 2017 par rapport à ceux de 2016 ? Quels sont ces travaux précisément ?

Monsieur Franck MEREYDE insiste sur la nature de la mise aux normes des deux pistes 4 (6/24) et 3 (8/26) qui ont été construites respectivement en 1963, il y a 54 ans, et 1950, il y a 67 ans. « Il y a de nouvelles normes qui s’imposent aux aéroports et auxquelles ils doivent se soumettre ». Les zones de sécurité en bout de piste sont à refaire. Les pentes du profil des pistes doivent être modifiées ce qui oblige à les reprendre avant de remettre une couche d’enrobé. « Aucun obstacle doit exister à 150 m de part et d’autre de la piste, ce qui oblige à supprimer des équipements existants ». La réfection des équipements électriques a obligé à dérouler 300 kilomètres de câbles.

Il s’agit donc de travaux qui mobilisent des moyens comparables à ceux utilisés lors d’une construction neuve, avec la contrainte d’une intervention sur un site déjà réalisé et qui est utilisé. En 2016, 50 % du programme a été réalisé en 6 semaines. Pour 2017, il reste à effectuer les 50 % restants en 5 semaines. En 2018-2019, les travaux ne nécessiteront pas de fermer les pistes.

Aéroport d’Orly, aérogare Sud. © Photographie BM/CAD pour PEE, 11 mai 2017.

RÉFÉRENCES
1.  Territoires et démocratie numérique locale (TDNL) est un média numérique collaboratif et associatif, créé et animé en 2010 par Bernard MÉRIGOT. Il est consultable sous le lien www.savigny-avenir.fr (ISSN 2261-1819).
2. Lire les articles en ligne relatifs aux travaux 2017 sur www.portes-essonne-environnement.fr :

© Bernard MÉRIGOT, 11 mai 2017, 20 heures. A suivre…

ISSN 2495-1161. Dépôt légal du numérique, BNF 2017