Archives de catégorie : Juvisy-sur-Orge

Ville de Juvisy-sur-Orge

Sécheresse : 60 villes concernées par la restriction de l’usage de l’eau

Le seuil d’alerte « sécheresse » de l’Orge et de ses affluents étant atteint suite à plusieurs semaines de grande sécheresse, la préfecture de l’Essonne a décidé de prendre un arrêté relatif à la restriction des usages de l’eau prélevée dans les rivières. Cette mesure s’applique à 60 communes depuis le 10 juillet 2015. Sont notamment interdits l’arrosage des pelouses et des espaces fleuris privés et publics (entre 8 h et 20 h), l’arrosage des jardins potagers (entre 8 h et 20 h), le remplissage des piscines, le lavage des voiries ou des terrasses, et le lavage des voitures. Les villes de la CALPE sont concernées, à l’exception de Morangis. (1)

RÉFÉRENCE
1. Sécheresse et limitation d’usage de l’eau : Arrêté n° 2015-DDT-SE-260 du 10 juillet 2015 fixant les mesures de restriction des usages de l’eau dans le bassin versant de l’Orge et de ses affluents (www.essonne.gouv.fr/Publications/Arretes/Eau-arretes-prefectorauxet-recepisses-de-declaration, pdf : arrete 260 du 10 07 2015 alerte renforcee Orge).

DOCUMENT
A1A2A3A4A5A6Arrêté 2015-DDT-SE-260 du 10 juillet 2015
fixant les mesures de restriction des usages de l’eau
dans le bassin versant de l’Orge et de ses affluents.

© Sylvie MONNIOTTE-MÉRIGOT, 11 juillet 2015.

Des milliers de manifestants défilent contre Monsanto

Monsanto est le symbole même de l’entreprise qui continue d’une manière décomplexée à introduire de force ses produits phytosanitaires dont la toxicité a été démontrée plusieurs fois. Présente à la manifestation du samedi 23 mai 2015 en France contre la société américaine, Marie-Monique ROBIN avait publié le documentaire Notre poison quotidien diffusé sur la chaîne ARTE en 2010 (http://www.arte.tv/fr/notre-poison-quotidien/3673748.html). Pendant ce temps plusieurs communes membres de la communauté d’agglomération Les Portes de l’Essonne (CALPE) continuent d’épandre des pesticides dans la plus totale opacité.

© Jean-Marie CORBIN, 25 mai 2015.


DOCUMENT
AFP, le 24 mai 2015

Plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi en France contre le géant américain de la biotechnologie agricole Monsanto, et plus spécialement contre les OGM, pesticides et autres produits chimiques, dans le cadre d’une mobilisation mondiale.

Des appels à manifester avaient été lancés dans 35 villes françaises au total, mais également dans de nombreuses villes à travers le monde (plus de 400 dans une quarantaine de pays).

A Paris, de 2.000 à 3.000 personnes ont effectué une marche entre la place Denfert-Rochereau et le Champs-de-Mars, accompagnées par des percussions.

A l’appel de collectifs citoyens et de nombreuses associations comme Greenpeace, le collectif « Alternatiba » ou « stop Tafta », les manifestants ont défilé derrière la banderole « Paris marche contre Monsanto », scandant notamment « Vade retro Monsanto », « Monsanto non, ma santé oui » ou encore « Des OGM ? on n’en veut pas ! ».

Parmi les manifestants figurait Marie-Monique Robin, l’auteur du livre Le monde sans Monsanto qui a dénoncé samedi matin sur RTL un scandale à venir du type de celui de l’amiante. « L’enjeu est énorme », a-t-elle ajouté.

A Rennes, environ 1.400 personnes, selon la police, ont manifesté dans le centre-ville, dans un cortège coloré réunissant des personnes de tous âges, au son de roulements de tambour.

« Je pense beaucoup aux enfants que je pourrais avoir plus tard », a expliqué l’une des participantes, Aurélia, 28 ans, coiffée d’un épi de maïs en papier barré d’un « stop OGM ».

L’herbicide Roundup, produit-phare de Monsanto récemment classé comme « cancérogène probable » par l’agence du cancer de l’Organisation mondiale de la santé, était particulièrement ciblé par les manifestants : « Envie d’un petit suicide collectif ? Ayez le réflexe Roudup », proclamait ainsi une pancarte, au-dessous d’une tête de mort en carton.

1.400 personnes ont également défilé à Nantes et 1.600 à Lorient où les manifestants, partis du centre-ville, ont rejoint le port de commerce de Kergroise, l’une des portes d’entrée du soja transgénique en France.

A Toulouse, plusieurs dizaines de manifestants ont envahi samedi le rayon jardinerie d’un hypermarché près de Toulouse, pour en retirer les flacons d’herbicides – tel le Roundup.

A Strasbourg, entre 800 et un millier de manifestants se sont rassemblés devant le Parlement européen, avant de se coucher sur le sol pour observer une minute de silence devant le Conseil de l’Europe, « en hommage aux victimes existantes et à venir empoisonnées par les pesticides », selon l’un des organisateurs.

A Lyon, quelque 500 personnes ont défilé dans le centre, arborant des affiches colorées et des petits panneaux moquant les firmes agrochimiques.

300 personnes ont également manifesté à Tours.

Pour le collectif citoyen « les Engraineurs », qui a organisé les manifestations en France, cette mobilisation vise à œuvrer en faveur d’« une agriculture respectueuse de la santé des travailleurs, des consommateurs et des générations futures, pour un nouveau modèle agricole respectueux de l?environnement ».

Lancée en 2013 par la mouvance Occupy, la Marche mondiale contre Monsanto se réclame « d‘une dynamique citoyenne, autogérée par les groupes qui s’en emparent localement ».

En Suisse, environ 2.500 personnes ont manifesté dans les villes de Bâle et de Morgues où Monsanto possède son siège pour l’Europe, l’Afrique et le Moyen-Orient.

500 personnes ont, par ailleurs, défilé à Ouagadougou (Burkina Faso) contre le géant américain qui a introduit le coton transgénique dans le pays en 2003.

Tram-train Massy-Évry (TTME ou tram express sud) : la préparation du chantier…

Initialement prévue en 2018, la mise en service de la liaison Massy-Évry est maintenant envisagée pour 2019. Elle a pour corolaire la suppression de la branche C8-Z6 du RER-C reliant Juvisy-sur-Orge à Versailles-Chantier, tout en la maintenant opérationnelle dans sa portion Massy-Versailles en attendant la mise en service du prolongement du tram-train entre ces deux villes prévue, elle, pour 2020 ! Au final, les voyageurs du tram express sud se verront proposer un trajet sans correspondance entre les chefs-lieux départementaux de l’Essonne et des Yvelines pendant que ceux transitant vers la troisième gare d’Ile-de-France (Juvisy-sur-Orge) seront obligés de faire un changement à Épinay-sur-Orge… Pourquoi faire simple lorsque l’on peut faire compliquer ? (1)

En ce mois d’avril 2015, le Syndicat des transport d’Ile-de-France (STIF) distribue le numéro 7 du Tram-train Massy-Évry. Le journal focalisé sur les préparatifs du chantier. Il doit démarrer en 2016. (2)

2015-04 TTME LETTRE 7 r

Tram-train Massy-Évry. Le journal, n° 7, avril 2015, recto. © STIF.

Il annonce également l’intervention de divers concessionnaires sur le périmètre du tracé afin de dévier certains réseaux souterrains, en particulier ceux ayant trait à l’eau potable, l’assainissement, le gaz, l’électricité, les communications.

2015-04 TTME LETTRE 7 v

Tram-train Massy-Évry. Le journal, n° 7, avril 2015, verso. © STIF.

Les opérateurs informent de la réalisation de 3 287 sondages géotechniques à ce jour afin d’adapter au mieux la capacité du sol à supporter la plateforme du TTME.

Pour finir, un dispositif de communication papier et Internet sur le chantier sera mis en place dès l’été 2015 dans le but d’informer les populations concernées de l’évolution des travaux. (3)

Sources
1. Voir les précédents articles de PEE sur le sujet : http://portes-essonne-environnement.fr/le-tram-train-massy-evry-deja-en-retard/, http://portes-essonne-environnement.fr/tram-train-massy-evry-tramway-t7-entretien-avec-le-stif/.
2. STIF – Transamo, Tram-train Massy-Évry. Le journal, n° 7, avril 2015, 2 p. (pdf :
2015-04 STIF TTME L7).
3. Pour en savoir plus : www.tramtrain-massyevry.fr.

© Philippe TRENTY, 22 avril 2015.

Les sens interdits fleurissent à la CALPE : le printemps avant le printemps

Décidément, les Calpiens assistent soit au printemps avant le printemps, soit au tournage d’une mauvaise série à leur dépens avec en toile de fond une application de la signalétique du Code de la route par des maires qui, sous couvert d’une motivation a priori honorable (réduire les nuisances), sont en fait peu attentifs au vécu de leurs concitoyens.

SOUVENONS-NOUS DE LA FIN DE L’ÉTÉ 2014

Fin août 2014, les riverains et les usagers réguliers de l’intersecteur résidentiel de Paray-Vieille-Poste / Athis-Mons / Morangis / Savigny-sur-Orge (secteur des 4 communes ou de la Voie-verte) subissent la mise en place d’un plan de circulation truffé de sens interdits. On pouvait lire entre les lignes de la prose du maire de Paray-Vieille-Poste :  « Halte. On ne passe plus dans ma ville » ou « Stop. Trouvez-vous un autre chemin pour entrer dans ma ville ou en sortir » ou encore « Vous êtes riverains, qu’importe si vous devez faire des kilomètres avant de pouvoir rentrer chez vous »… En quelques semaines, la révolte gronde si fort qu’Alain VÉDÈRE doit reculer. Ne subsistent alors que quelques panneaux tel celui de l’avenue Charles-de-Gaulle à Paray-Vieille-Poste, très gênant pour les Saviniens en transit mais apparemment pas pour le maire de Savigny-sur-Orge. (1) Depuis lors, nombreux sont ceux qui passent outre cette interdiction restreinte aux seuls véhicules légers. Il suffit de se poster au carrefour quelques heures pour s’en apercevoir…

Savigny - Paray accès bloqué avenue CdG 2014-08-31

Avenue Charles-de-Gaulle, Paray-Vieille-Poste, le 31 août 2014. © JMC/PEE.

AGITATION DANS LE LANDERNEAU CALPIEN

Voici, que le 18 février 2015, la maire d’Athis-Mons, Christine RODIER, décide d’implanter un sens interdit condamnant l’avenue Jean-Jacques Rousseau, à titre expérimental jusqu’au 28 mai et dans l’attente du plan intercommunal de circulation prévu pour… 2016 !

Aussitôt une pétition est organisée contre ce 7e, ce 9e, ce 10e… panneau d’interdiction dans ce secteur – on ne sait plus. Elle recueille en quelques jours plus de 200 signatures, tandis que les maires se renvoient la balle ou le panneau « c’est pas moi, c’est l’autre qui ne la joue pas collectif dans ce dossier ». (2)

Le président de la CALPE, Robin REDA, siffle alors la mi-temps. Se posant en arbitre, il organise une réunion le 26 février 2015 afin d’accélérer la concertation des seuls élus sur le plan intercommunal de circulation. Il ressort de cette rencontre « sereine » que 1/ ledit plan entrera en vigueur en septembre 2015, 2/ les maires pourront – en attendant – installer des sens de circulation provisoires « concertés », et 3/ le sort du sens interdit de l’avenue Charles-de-Gaulle à Paray sera décidé prochainement. (3)

QUI DÉTIENT LE POUVOIR DE POLICE DE LA CIRCULATION ROUTIÈRE ?

Le maire et/ou le président de la communauté d’agglomération. L’autorité est partagée suivant le type de voirie concernée et la localisation. Le maire est responsable de la sûreté et de la commodité du passage dans les voies publiques. Il peut décider de mesures restrictives (telle la mise en place de sens interdits). En vertu de la loi du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, sur les voies d’intérêt communautaire, les maires ont la faculté de transférer aux présidents d’établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) leurs pouvoirs de police en matière de circulation et de stationnement. Par contre, à Paris, le préfet de police se substitue au maire et exerce lesdites compétences. (4)

La signalisation routière est réglée par des textes réglementaires. Sa mise en place relève donc de la compétence des maires et parfois, si des transferts ont été effectués, de celle des présidents d’intercommunalité. Les maires de la CALPE ont-ils transféré cette compétence à la CALPE, notamment pour l’élaboration d’un plan intercommunal de circulation ? Parmi les compétences obligatoires se trouvent celle de l’élaboration et de la gestion du plan communautaire de déplacements urbains (PCDU). La CALPE « assure l’aménagement et l’entretien de l’espace public : voirie, trottoirs, éclairage public, signalisation ». Dans la mesure où les maires de Paray-Vieille-Poste et d’Athis-Mons ont décidé d’implanter des sens interdits sur leur voirie, cela signifie que le transfert n’a pas été fait. Le manque de transparence dans la gestion de l’EPCI empêche toute réponse explicite. Aucune information sur le sujet n’est véritablement dispensée à l’attention des Calpiens sur le site Internet de l’agglomération ! (5)

ET LA CONCERTATION CITOYENNE DANS CE DOSSIER ?

Quid d’une vaste concertation citoyenne sur ce plan intercommunal de circulation, avec les élus, les fonctionnaires, les riverains, les usagers, les associations, les acteurs économiques locaux de la CALPE ? On peut constater que, comme à l’habitude des maires des contrées très urbanisées n’ayant pas mis en place des conseils de quartier structurés, agissant entre eux ou avec une minuscule poignée d’associations dites « de cadre de vie » hyper-sélectionnées par les élus (pour ne pas dire très proches d’eux), il n’existe pas chez ces dirigeants d’approche ascendante (des citoyens vers les élus, dite bottom-up) caractérisant le principe général de fonctionnement d’une démarche de concertation publique. Les maires imposent leurs décisions.

Faut-il leur rappeler quelques textes fondateurs de toute démarche démocratique visant le bien public, susceptible d’avoir une incidence notable sur l’environnement ? De la convention d’Aarhus (1998) à la directive européenne d’évaluation des politiques publiques (1985) en passant la Charte de l’environnement intégrée à la Constitution française (2004), ces textes prévoient que 1/ chaque citoyen dispose d’un droit d’accès aux informations sur l’environnement détenues par les autorités publiques, 2/ il peut participer à l’élaboration des décisions publiques ayant une répercussion sur l’environnement. A minima, puisque ces maires agissent afin de réduire les nuisances et les dangers, ce plan intercommunal de circulation aura des incidences notables sur l’environnement et le cadre de vie des Calpiens. N’ont-ils donc pas le droit de contribuer à sa conception, à quelque niveau que ce soit ?

Enfin, combien de temps les frondeurs Alain VÉDÈRE et Christine RODIER tiendront-ils sans être atteint par une nouvelle crise de  « sensinterdite aigüe » ? A peine cinq mois se sont écoulés entre les interdits de l’un et ceux de l’autre.

OÙ EST PASSÉE L’INTELLIGENCE TERRITORIALE DES ÉLUS DE LA CALPE ?

Le moins que l’on puisse dire c’est que ces maires sont étrangers à une intelligence territoriale intercommunale active mais uniquement réactive puisque le président de la CALPE est obligé de convoquer des réunions en urgence pour les faire s’entendre entre eux. Idem pour l’intelligence opérationnelle concertée… Et, aujourd’hui, ils ne sont que 5 au sein de l’intercommunalité. Qu’en sera-t-il lorsqu’ils seront plus nombreux ? Avec le maire de Viry-Châtillon intégré dans le cadre décisionnel calpien par le préfet de région lors de la nouvelle carte intercommunale. Sans le maire de Paray-Vieille-Poste, partant dans les méandres de la Métropole du Grand Paris (MGP). Avec le maire de Draveil, selon une rumeur fort intéressante au demeurant ? Avec les maires du Grand Orly puisque les élus calpiens veulent intégrer ce « mixte de pôle urbain et économique / contrat de développement territorial » qui – chut, il ne faut pas effrayer les Calpiens – sera une composante de la Métropole du Grand Paris ?

QUI DÉCIDERA DEMAIN DE LA SIGNALÉTIQUE ROUTIÈRE SUR LES COMMUNES DE LA CALPE ?

D’un côté , la loi du 3 juin 2010 relative au Grand Paris a créé le contrat de développement territorial (CDT), instrument permettant de mettre en œuvre les objectifs du Grand Paris (transports, développement économique, urbanisme, logement, etc…). Les CDT de la Métropole du Grand Paris sont des outils de planification et de programmation élaborés conjointement par les collectivités territoriales et l’État. L’accord cadre du CDT du Grand Orly a été signé le 6 novembre 2013. (6)

De l’autre côté, le territoire du Grand Orly est formé de communes situées en Essonne et dans le Val-de-Marne, ce département étant absorbé par la Métropole du Grand Paris selon les termes de la loi MAPTAM du 16 décembre 2010. (5) Pourquoi donc ne pas dire directement aux Calpiens que le souhait de leurs élus est d’intégrer le Grand Orly qui doit lui-même intégrer la Métropole du Grand Paris !

CarteMAPAMfev2014

La Métropole du Grand Paris. Carte établie en février 2014 téléchargeable sur le site Internet www..ateliergrandparis.fr. (7)

Détail intéressant. Dans la préfiguration du Grand Paris, bon nombre des compétences des élus municipaux deviendront métropolitaines. Ainsi, la responsabilité de l’aménagement des territoires deviendra une compétence métropolitaine. Sur le périmètre de la MGP, les conseils de territoire prendront la suite des intercommunalités existantes. La loi indique qu’ils exerceront la compétence en matière de politique de la ville qui est attribuée à la métropole.  (8) Bref, le millefeuille administratif n’est qu’un prétexte pour vendre les redécoupages intercommunaux. Il n’est pas prêt de disparaître. Mais, il s’agit d’un autre sujet…

Dans la présente affaire, qui détiendra le pouvoir de police demain ? Qui prendra la décision d’implanter les futurs sens interdits aux usagers et aux riverains locaux si la CALPE intègre la Métropole du Grand Paris ? Le maire ? Le président du conseil de territoire dont dépendra la commune ? L’éventuel préfet de police de la MGP à l’instar de l’actuel préfet de police de Paris ?  Autant de questions auxquelles les citoyens sont en droit d’obtenir des réponses claires et précises de la part des autorités publiques avant les prochaines échéances électorales.

RÉFÉRENCES
1. Voir l’article de Jean-Marie CORBIN, « Paray-Vieille-Poste, ça n’a pas de sens », 15 septembre 2014 : http://portes-essonne-environnement.fr/paray-vieille-poste-ca-na-pas-sens/.
2. Cédric SAINT-DENIS, « Les maires dans l’impasse à cause… des sens interdits », Le Parisien Essonne matin, 25 février 2015, p. I (pdf) : 2015-02-25 LP Sens interdits Athis-Paray.
3. Cédric SAINT-DENIS, « Vers une issue dans la guerre des sens interdits », Le Parisien Essonne matin, 27 février 2015, p. II (pdf) : 2015-02-27 LP Sens Interdits suite.
4. Le Grand Orly. Accord cadre du contrat de développement territorial, 6 novembre 2013, 85 p. (pdf) : 2013-11-06 CDT GRAND ORLY Accord cadre.
4. Voir les articles relatifs au pouvoir de police dans le Code général des collectivités territoriales.
5. Site internet de la CALPE : http://www.portesessonne.fr/.
6. Site Internet de la préfecture de la région Ile-de-France. http://www.ile-de-france.gouv.fr/gdparis/Metropole-du-Grand-Paris.
7. Site Internet de l’Atelier international du Grand Paris. http://www.ateliergrandparis.fr/ressources/cartemetropole/.
8. La Métropole du Grand Paris en préfiguration. Dossier du préfet de la région d’Ile-de-France, préfet de Paris, janvier 2015, 4 p. (pdf) : MGP PREFIG – DOSSIER PRIDF janvier 2015.

© Philippe TRENTY, 27 février 2015.

Orge. Les travaux prévus par le Syndicat de l’Orge en 2015

L’association Portes de l’Essonne Environnement (PEE) est membre de la commission consultative des services publics « Écologie et Paysage » du Syndicat de l’Orge (ex-SIVOA) qui s’est réunie le 29 janvier 2015 afin d’examiner le plan de gestion de la vallée de l’Orge. Il a été présenté en deux parties : 1. le bilan 2014, et 2. la programmation 2015.

On trouvera ci-dessous les cartes des travaux prévus pour l’année 2015 pour les communes d’Athis-Mons, Juvisy-sur-Orge, Savigny-sur-Orge. Les cartes de la vallée sont classées d’est en ouest, du point de confluence entre l’Orge et la Seine (à Athis-Mons), à celui entre l’Orge et l’Yvette (Savigny-sur-Orge, Épinay-sur-Orge, Villemoisson-sur-Orge).

Syndicat Orge Planification 2015

Orge. Planification des travaux pour 2015, tronçon n° 1 « parc d’Athis – confluence » (Athis-Mons) : élagage ; entretien de la ripisylve ; éclaircie de la couverture arborée sur la berge en rive gauche ; gestion du boisement. © Syndicat de l’Orge.

Syndicat Orge Planification 2015-1

Orge. Planification des travaux pour 2015, tronçon n° 2 « coteau des vignes » (Athis-Mons / Juvisy-sur-Orge) : projet du coteau des vignes (cours d’eau, berges et promenade, instruction) ; projet Orge des impasses (continuité de la promenade de Juvisy, fin des études). © Syndicat de l’Orge.

Syndicat Orge Planification 2015-2

Orge. Planification des travaux pour 2015, tronçon n° 3 « Belles fontaine – Prés-Saint-Martin » (Juvisy-sur-Orge / Savigny-sur-Orge) : requalification de la promenade Cantoni ; projet de continuité de promenade (études) ; création d’un barrage anti-pollution. © Syndicat de l’Orge.

Syndicat Orge Planification 2015-3

Orge. Planification des travaux pour 2015, tronçon n° 4 « Duparchy, Kennedy, Morlet, Grangier » (Viry-Châtillon / Savigny-sur-Orge / Morsang-sur-Orge) : projet espace naturel Duparchy (travaux) ; éclaircie et embellissement ; dégagement d’arbustes ; projet de continuité de promenade côté Square Morlet. © Syndicat de l’Orge.

Syndicat Orge Planification 2015-4

Orge. Planification des travaux pour 2015, tronçon n° 5 « parc de Morsang – Savigny » (Savigny-sur-Orge / Morsang-sur-Orge) : gestion adaptée des berges réhabilitées ; tailles ; réhabilitation du « terrain de foot » ; entretien de la digue ; création d’un ponton d’observation au bord de la mare Joie de créer ; suivi des amphibiens ; test de pâturage par des chèvres ; entretien de la mare Buffalo ; suivi des négundos ; entretien du chenal. © Syndicat de l’Orge.

Syndicat Orge Planification 2015-5

Orge. Planification des travaux pour 2015, tronçon n° 6a « Archives – parc d’Épinay » (Épinay-sur-Orge / Villemoisson-sur-Orge) : réfection du cheminement ; rénovation de passerelle. © Syndicat de l’Orge.

RÉFÉRENCES
SYNDICAT DE L’ORGE (ex-SIVOA),
Commission consultative des services publics Écologie et Paysage, réunion du 29 janvier 2015.

SYNDICAT DE L’ORGE (ex-SIVOA) – A. MEYNIER, Plan de gestion de la vallée de l’Orge aval, Programmation  2015. Cartes du service Prospection, Études, Milieux, 29 janvier 2015, 27 p. 〈pour agrandir les cartes, cliquer dessus〉. Les 27 planches en pdf : 20150226 SO Prévisionnel travaux 2015.

© Bernard MÉRIGOT, membre du conseil d’orientation de PEE, ancien vice-président du SIVOA, 13 février 2015.