Archives de l’auteur : Jean-Marie CORBIN

Une sympathique rencontre nocturne

Me préparant pour la nuit, j’aperçois que l’éclairage automatique de ma terrasse se déclenche tout seul. Encore un félon félin en vadrouille ! Raté : il s’agit d’un sympathique petit mammifère, un hérisson, plus précisément. Animal nocturne, malgré l’hécatombe routière, il reste encore possible de le rencontrer fortuitement à la nuit tombée dans nos jardins comme ce fut le cas ce soir pour moi.

Reviens quand tu veux gentil petit animal, tu seras chez moi toujours le bienvenu !

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Un hérisson dans un jardin savinien. © Photographie Jean-Marie CORBIN, 6 février 2016.

© Jean-Marie CORBIN, 6 février 2016, 22 h 30.

Accident de Brétigny-sur-Orge. La SNCF aurait cherché à manipuler des témoins de l’enquête

Lors de la journée portes ouvertes du Technicentre des Ardoines le 12 octobre 2013, un agent d’encadrement – en charge de nous faire visiter les ateliers – nous avait confirmé que la catastrophe qui était survenue trois mois auparavant, avait ébranlé par mal de certitudes et réveillé certains personnels sur leur façon de travailler. Les différents rapports qui se sont enchaînés depuis, font toujours le même constat accablant. (1) C’est cette fois-ci au tour du Canard enchaîné d’enfoncer le clou. Le journal révèle que tout agent de la SNCF susceptible d’être interrogé par les enquêteurs était prié, au cours d’un entretien préalable avec la direction, d’en dire le moins possible sur cette affaire.


DOCUMENT
20 Minutes avec AFP

Publié le 26.01.2016 à 22:26
Mis à jour le 27.01.2016 à 11:41

« Des témoins se seraient prêté à un double langage. C’est ce que révèle Le Canard enchaîné dans son édition de ce mercredi, qui affirme que la SNCF aurait voulu « manipuler l’enquête » sur la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge (Essonne) en briefant ses employés avant leur audition par la justice.

L’hebdomadaire, qui dit avoir eu accès a de « nombreuses pièces de l’enquête », révèle que des dirigeants de la SNCF ont été placés sur écoute par les juges.

⇒ DEMAIN DANS « LE CANARD ». Accident de Brétigny : la SNCF a voulu tromper les juges. La preuve… — @canardenchaine (@canardenchaine) January 26, 2016

Ces écoutes mettent en évidence « un double langage » de la part de certains témoins, selon le Canard Enchaîné. Comme ce cadre qui déclare dans une conversation interceptée « Brétigny c’est des crevards. Faut tous les foutre dehors ! », mais qui assure ensuite aux juges ne pas savoir si les travaux de maintenance y sont correctement menés.

« Moi, je t’invite à ne rien apporter (aux policiers) »

L’hebdomadaire affirme que chaque cheminot concerné par l’enquête a été « invité à un entretien avec le service juridique » de la SNCF, suivie d’un débriefing après son audition par les enquêteurs.

« Moi, je t’invite à ne rien apporter (aux policiers)… Tu viens avec rien… Il faut attendre leurs demandes », déclare ainsi à un cheminot une femme cadre au service juridique, chargée selon l’hebdomadaire de préparer les employés.

« La direction juridique de SNCF (…) défend et accompagne ses salariés lorsqu’ils sont mis en cause dans l’exercice de leur fonction. C’est le cas pour l’instruction concernant l’accident de Brétigny », a réagi mardi soir l’entreprise ferroviaire dans un communiqué. « Les salariés auditionnés par les juges sont totalement libres de leurs propos », a-t-elle ajouté, se refusant à commenter un article basé sur des « documents (…) couverts par le secret de l’instruction ».

Seules deux personnes morales mises en examen

Le déraillement à Brétigny du train Paris-limoges, survenu le 12 juillet 2013, a fait sept morts et des dizaines de blessés, en raison d’une éclisse – sorte de grosse agrafe qui maintient alignés deux rails consécutifs -, dont une fissure n’avait pas été détectée lors des tournées de surveillance et dont trois des quatre boulons s’étaient cassés ou dévissés. L’éclisse avait alors pivoté, provoquant l’accident.

L’ensemble des rapports d’expertise arrivent à la conclusion qu’un défaut de maintenance sur les voies est à l’origine de l’accident. Depuis l’ouverture d’une information judiciaire par le parquet d’Evry, seules deux personnes morales ont été mises en examen, la SNCF et Réseau ferré de France (RFF), toutes deux mises en cause pour homicides et blessures involontaires.

Trois cheminots de la SNCF, chargés de la surveillance des voies au moment du déraillement, ont par ailleurs été placés mi-janvier sous le statut de témoin assisté. » (2)(3)


RÉFÉRENCES
1. Voir l’article de Jean-Marie CORBIN, « La SNCF priée d’améliorer la gestion du réseau après Brétigny », sur le présent site Internet, 18 septembre 2015 : http://portes-essonne-environnement.fr/la-sncf-priee-dameliorer-la-gestion-du-reseau-apres-bretigny/.
2. Pour voir les vidéos de 20 minutes avec AFP, « Accident de Brétigny. La SNCF aurait « manipulé l’enquête » » : http://www.20minutes.fr/societe/1774011-20160126-video-accident-bretigny-sncf-manipule-enquete.
3. Lire également l’article : « Drame de Brétigny, la sncf aurait manipulé des témoins », www.leparisien.fr, 26 janvier 2016 : http://www.leparisien.fr/faits-divers/drame-de-bretigny-la-sncf-aurait-manipule-des-temoins-26-01-2016-5487567.php.

© Jean-Marie CORBIN, 27 janvier 2016, 00 h 08.

Morangis. La déchèterie vandalisée

L’information relayée sur le site internet Essonne Info laisse au premier abord dubitatif sur le mobile de ces effractions. Interrogé il y a quelques années sur la question, un agent en gardiennage du site en journée m’a confirmé que les métaux contenus dans les déchets électriques et électroniques intéressent la communauté des ferrailleurs. On constatera que la vidéosurveillance installée à la déchèterie de Morangis a atteint les limites de son efficacité.


DOCUMENT

« Le SIREDOM, l’agence sud-francilienne de valorisation des déchets, a été victime d’actes de vandalisme sur un de ses équipement. La déchetterie de Morangis a ainsi été particulièrement touchée dans la nuit du 21 au 22 janvier.

En fin de semaine passée, les usagers de la déchetterie de Morangis n’ont pu accéder aux équipements des locaux. En effet, dans la nuit, plusieurs individus se sont introduits dans la propriété afin d’y dérober des équipements. Les individus auraient ainsi pénétré dans les locaux du gardiens, mais également dans ceux abritant les déchets électriques et les déchets dangereux, affirme le syndicat de traitement des déchets. Des dégâts et vols auraient ainsi été constatés.

Ce n’est pas la première fois que ce genre d’incident survient dans une des quinze déchetteries du SIREDOM. Stockant très souvent métaux, appareils électriques, et même outils informatiques, la société est très souvent en proie aux actes de vandalisme. Face à une situation qui n’évolue pas malgré les renforcements de sécurisation mis en place, le SIREDOM assure que les mesures de sécurité seront donc renforcées dans les prochaines semaines. En attendant, la société indique que le nécessaire a été fait afin de permettre la réouverture de la déchetterie de Morangis. » (1)

RÉFÉRENCE
1. Lana MULLER,  « La déchetterie de Morangis verbalisée », www.essonneinfo.fr, 26 janvier 2016 : http://essonneinfo.fr/91-essonne-info/87776/la-dechetterie-de-morangis-vandalisee/.

© Jean-Marie CORBIN, 26 janvier 2016, 10 h 28.

Nord Essonne. Un film de neige bien étrange… Attention neige industrielle !

Le mardi 19 janvier 2016, alors qu’il n’y avait pas de précipitations prévues par les services météorologiques, les habitants du Nord Essonne dont ceux des Portes de l’Essonne ont découvert en ouvrant leurs volets un film neigeux épandu sur les pelouses, les routes et les chaussées.

Dans le quotidien Le Parisien.fr du 19 janvier 2016, un court article  y est consacré et précise que cela serait dû à la pollution industrielle sans en préciser l’origine. (1) En effet, il serait embarrassant qu’en plus d’accuser les feux de cheminée des particuliers et les automobiles, que les camions et surtout les avions soient également montrés du doigt …

Chutes de « neige industrielle » en Essonne

Certains Essonniens se sont réveillés avec une surprise météorologique ce mardi matin : une (fine) couche blanche a recouvert trottoirs, pare-brise et chaussées dans quelques communes du nord de l’Essonne. C’était le cas à Viry-Châtillon, Sainte-Geneviève-des-Bois, Palaiseau ou bien encore à Yerres…

Ces premiers flocons de l’année en Essonne sont en fait dus à des chutes de « neige industrielle », un phénomène qui ne se produit qu’aux abords d’agglomérations, notamment en raison de la pollution… (1)

Les explications sont plus précises dans l’édition numérique du 19 janvier 2016 et papier du 20 janvier 2016 :

2016-01-20 LPE NEIGE

Document : Florian LOISY, « Premiers flocons : c’était de la « neige industrielle » ! », Le Parisien Essonne-matin, 20 janvier 2016, p. I. (2)
http://www.leparisien.fr/yerres-91330/premiers-flocons-en-essonne-c-etait-de-la-neige-industrielle-19-01-2016-5465163.php

Les enfants, abstenez-vous de faire des batailles ou des bonhommes avec cette neige polluée !

RÉFÉRENCES
1. Article publié par Le Parisien.fr le 19 janvier 2016, 15 h 28  : http://www.leparisien.fr/essonne-91/en-images-chutes-de-neige-industrielle-en-essonne-19-01-2016-5465505.php.
2. Lorian LOISY, « Premiers flocons : c’était de la « neige industrielle » ! », Le Parisien Essonne-matin, 20 janvier 2016, p. I. Version numérique sans infographie publiée le 19 janvier 2016 :  http://www.leparisien.fr/yerres-91330/premiers-flocons-en-essonne-c-etait-de-la-neige-industrielle-19-01-2016-5465163.php.

© Jean-Marie CORBIN, 20 janvier 2016, 12 h 00.

Voeux 2016. Demain, la fête ? (CALPE, EPT 12, MGP)

Il y a plus de quarante ans Michel FUGAIN et son Big Bazar se produisaient sur les écrans de télévision en chantant « C’est la fête ». Chanson caractéristique des variétés des années 70 où la jeunesse de l’époque affichait déjà ses préoccupations concernant la dégradation de l’environnement mais aussi un immense espoir de renouveau.

Nous voilà entrés dans l’année 2016, et cette chanson résume en grande partie l’édito des vœux aux lecteurs de notre webzine Portes de l’Essonne Environnement, portail de l’intelligence informationnelle, opérationnelle et territoriale.

L’INTÉGRATION DE LA CALPE DANS LA MGP

Le programme comme toujours reste dense en début d’année. Viry-Châtillon a intégré la CALPE. Les communes de la CALPE ont elles-mêmes intégré la Métropole du Grand Paris (MGP), plus précisément l’établissement public territorial (EPT) 12. Celui-ci regroupe 24 communes et près de 678 000 habitants, s’étendant le long de l’ancienne route nationale 7, des portes de Paris à Viry-Châtillon, sa limite sud.

Avec ses 92 conseillers territoriaux, cette strate supplémentaire aura à prouver son efficacité. Et là, rien n’est moins certain. Contrairement à l’assertion « plus c’est gros, mieux c’est », les faits le démontrent rarement. Pour faire le parallèle avec un déjeuner entre collègues de travail, les commandes sont individuelles, l’addition est commune, chacun en voulant pour son argent, la surenchère est systématique. À l’issue, la fiscalité explose alors que l’intercommunalité nous est initialement présentée comme économe car elle mutualise, soi-disant, les actions.

La première réunion du conseil de territoire n° 12, dont le siège est à Vitry-sur-Seine, est prévue le 12 janvier 2016 afin d’élire le président et les vice-présidents… Leur nom sera à lui seul tout un programme ! Ces conseillers territoriaux n’ont pas été élus au suffrage universel direct.  Aucune concertation n’a été proposée aux Calpiens par les élus de la CALPE sur l’intégration de la communauté au sein de la MGP. (1)(2)(3)

L’installation du conseil métropolitain, réunissant l’ensemble des conseillers territoriaux de la métropole, et l’élection du président de la MGP se tiendront le 22 janvier 2016. (4)

AMÉNAGEMENT DES TERRITOIRES ET CADRE DE VIE. CALPE, EPT ET MGP ?

Qu’en sera-t-il de l’aménagement des territoires et du cadre de vie dans la MGP ? Par exemple, la ville de Savigny-sur-Orge que je connais fort bien pour y habiter, à cause du manque d’anticipation et d’ambition de son actuel maire doté d’un immobiliste perpétuel, elle est en train de passer du statut de ville dortoir à celui de ville mouroir. Tout ce qui ne faut pas faire est fait. Tout ce qui devrait être fait n’est pas fait. Savigny-sur-Orge se dotera d’un plan local d’urbanisme (PLU) plus de 15 ans après la publication de la loi SRU qui les intronise. Il faudra y être très attentif, car l’étude des documents du projet arrêté laisse augurer plus de béton avec des habitants toujours plus entassés dans des cages à lapins. (5) Qu’en seront-ils des révisions des PLU de Juvisy-sur-Orge, d’Athis-Mons et de Viry-Châtillon avec l’entrée dans l’EPT 12 ? Qui prendront les véritables décisions pour ces dossiers puisque le vademecum de la création des EPT (publié en septembre 2015) précise que, dès le 1er janvier 2016, la politique de la ville et la plan local d’urbanisme sont exercés obligatoirement et intégralement par les territoires ? Enfin n’oublions la création du plan local d’urbanisme intercommunal (PLUI) à l’échelle de la MGP dans quelques mois que nos chers élus locaux semblent oublier ! (6)

Pourtant, une ville comme on la souhaite, c’est un lieu  où l’on travaille, où l’on se déplace,  où l’on s’instruit, où l’on se soigne, où l’on s’approvisionne, où l’on échange avec les autres notamment dans les cadres culturels et sportifs, où l’on se repose, où l’on se détend, où l’on vit tout simplement.

QUID DES TRANSPORTS ?

Le chantier des transports urbains répondront-ils aux attentes des « Sud-EPTiens 12 »  ? Le T7 atteindra Juvisy-sur-Orge au prix d’une traversée souterraine désastreuse mais il bute sur l’aérogare sud d’Orly pour ensuite se perdre dans les méandres rungissois. Le Tram-Train Massy-Évry (TTME) passera à Savigny-sur-Orge sans s’y arrêter. La ligne d’autobus 183 sera remplacée par une ligne de tramway. Reste les projets structurants plus rapides des lignes de métro M14 et M18. Or, celles-ci sont terminus à l’aéroport Paris-Orly, à la future colossale aérogare qui s’élèvera contre l’avis des riverains et des associations environnementales de la construction d’un bâtiment de jonction entre Orly-Ouest et Orly-Est pour mieux développer le trafic aérien et faire sauter le couvre-feu à terme. Le prolongement des M14 et M18, pourtant très peu onéreux, à proximité des hangars de maintenance technique de Morangis n’est pas à l’ordre du jour aux yeux des seuls décideurs de la Métropole du Grand Paris. Reste les modes de circulation doux de type vélo et marche à pied, plus rapides pour le premier dans les faits que les autobus et à égalité avec le tramway. Encore faut-il que des pistes cyclables soient créées, ce qui n’est pas le cas dans le projet de PLU de Savigny ! Et que les trottoirs soient entretenus et praticables par tous les piétons, ce qui n’est guère le cas dans certaines zones calpiennes !

Hélas, pour sortir de la MGP, ne serait-ce que pour partir en vacances en famille, l’automobile restera pour encore plusieurs années la seule solution acceptable pour les usagers. En effet, les transports en commun doivent faire preuve d’une bien meilleure efficacité et d’une bien meilleure fiabilité qu’elles ne le sont actuellement. Cela passe par le remise en question d’organisations internes chez les opérateurs de transports, rien ne dit qu’une réforme soit possible tant les clivages internes persistent en certains endroits.

ENVIRONNEMENT ET CADRE DE VIE, COMPÉTENCES DE LA MGP

L’EPT 12 de la région francilienne est pauvre en espaces verts, la plus pauvre des grandes métropoles européennes. Vu du satellite, la zone non-urbanisée semblant verte n’est en fait que la zone de l’aéroport d’Orly dont le rendement financier par mètre carré reste faible. Un aéroport occupe une surface impressionnante par rapport aux revenus générés. Sans compter les pollutions sonores et chimiques, un aéroport n’est pas un voisin très intéressant. Or, Paris-Orly est appelé à être de plus en plus gênant !

Restent des zones non-construites dans ce contexte ultra-urbanisé, je veux parler des cours d’eau tels que la Seine, l’Orge, la Bièvre et leurs rus… Toutes ces trames bleues malgré certains efforts de réhabilitation de-ci de-là ont une eau de piètre qualité.

DE LA NÉCESSAIRE TRILOGIE « INTELLIGENCE INFORMATIONNELLE, OPÉRATIONNELLE ET TERRITORIALE » EN 2016

De gros chantiers en perspective doivent être décidés et orientés en concertation avec les populations, voire mieux encore sous leur impulsion et dans la transparence totale. Il reste de nombreux progrès à accomplir. A l’heure du numérique à ultra haut débit et à ultra haute capacité, il n’est plus acceptable que des communes, des communautés d’agglomération ou de communes, certains organismes publics, certaines entités associatives persistent à faire de la rétention d’information au nom d’un je ne sais quel secret.

La culture participative ne doit pas être une simple idée couchée sur les papiers glacés des magazines des collectivités, elle doit s’accomplir par tous les acteurs de la société au quotidien. C’est ce à quoi nous nous employons à Portes de l’Essonne Environnement en mettant en avant les intelligences informationnelles et opérationnelles au service de l’intelligence territoriale, en publiant régulièrement les informations publiques nécessaires à la compréhension de la gestion d’un territoire.

Meilleurs vœux à nos lecteurs…

RÉFÉRENCES
1. Mission de préfiguration de la Métropole du Grand Paris, Vademecum. Création des établissements publics territoriaux, et Annexes, septembre 2015, 28 p. et 12 p. (pdf) : VADEMECUM -septembre2015 ; Vademecum-EPT-calendrier ; ANNEXES+VADEMECUM-+septembre2015.

Vademecum-EPT-calendrier 2016

MGP, Vademecum EPT, calendrier 2016.

Vademecum-EPT-calendrier 2016 suite

MGP, Vademecum EPT, calendrier 2016 suite.

2. « Décryptage sur le futur EPT. « Cap sur le Grand Paris en 2016 » », Les Portes magazine, n°26, janvier-février 2016, pp. 6-9 (pdf) : Décryptage Cap sur le Grand Paris en 2016.
3. Décret n° 2015-1665 du 11 décembre 2015 relatif à l’EPT n°12, site Internet www.legifrance.gouv.fr (pdf) : DECRET 2015-1665 du 11-12-2015 Legifrance.
4. Site internet de la préfiguration du Grand Paris consulté le 6 janvier 2015 : http://www.prefig-metropolegrandparis.fr/A-la-une-1/Meilleurs-voeux-2016.

Prefig MGP Voeux 2016

Préfiguration du Grand Paris, Voeux 2016. Capture d’écran du site Internet consulté le 6 janvier 2016.

5. Voir le dossier du projet de PLU arrêté par délibération en date du 23 septembre 2015 : http://portes-essonne-environnement.fr/les-documents-du-projet-de-plan-local-durbanisme-plu-de-savigny-sur-orge-rendus-publics-par-pee/.
6. Au sujet des compétences de la MGP, voir la plaquette (pdf) : PLAQUETTE MGP_11-12-2015.

PLAQUETTE MGP_11-12-2015 P 3

Les compétences au sein de la MGP et des EPT, La métropole du Grand Paris, plaquette de décembre 2015, p. 3.

En matière de PLU, il est précisé dans le Vademecum que « l’EPT est compétent dès sa création au 1er janvier 2016 pour poursuivre les procédures engagées antérieurement par les communes. Les modalités sont codifiées à l’article L. 141-10 et suivants du code de l’urbanisme :  « Le conseil de territoire peut décider, le cas échéant après accord de la commune concernée, d’achever toute procédure d’élaboration ou d’évolution d’un plan local d’urbanisme ou d’un document en tenant lieu, engagée avant la date de sa création et encore en cours à cette même date » » (page 11).

© Jean-Marie CORBIN, Président de Portes de l’Essonne Environnement, le 6 janvier 2016.