Suite de la partie I publiée le 4 juillet 2016.
III. Des tentatives pour réduire les aléas des inondations, de 1999 à 2008
Le Syndicat, la ville de Savigny-sur-Orge et les 32 autres communes touchées relancent les réunions sur les mesures à prendre. Des réflexions sont menées sur les rehaussements possibles, sur les bassins de rétention en amont, sur le débétonnage des berges de la rivière (bétonnées dans les années 1940-1950), notamment au parc du Séminaire en 1999, sur une cartographie plus détaillée grâce au système d’information géographique (SIG), sur la multiplication des postes de télégestion et de surveillance numérique des ouvrages hydrauliques, sur la réalisation de bassins de régulation des eaux de pluie, sur l’intensification des réseaux d’alerte… (1)
26 décembre 1999, la tempête Lothar traverse la France. A Orly, la vitesse des rafales atteint 173 km/h. A Savigny-sur-Orge, les dégâts sont considérables tant sur les propriétés communales que privées. Quasiment tous les peupliers le long de l’Orge se couchent… Deux jours plus tard, 28 décembre 1999, l’Orge déborde. C’est la deuxième fois cette année-là ! (3)
Bernard MÉRIGOT, adjoint au maire, rapporte qu’il a accompagné Jean MARSAUDON, député-maire de l’époque, à la nuit tombée, dans un parcourt en barque sur le secteur de Kennedy – Rossays. Des résidences du quartier des Rossays à celles de la rue de Morsang, l’Orge a repris son bassin d’expansion naturel. Au centre, la cour de la maternelle Kennedy est sous l’eau, l’accès est rendu inaccessible en raison du débordement du collecteur intercommunal géré par le SIVOA, passant sous la chaussée de l’impasse Kennedy, traversant la rue de Morsang pour rejoindre le poste de relèvement du lycée Corot le long de l’Orge. (4)
Depuis 1989, la ville a été l’une des premières du SIVOA à engager un programme de vérification des branchements individuels et communaux. Or, régulièrement, elle subit le fait que les communes en amont ne sont toujours pas en réseau séparatif, eaux pluviales / eaux usées. Les événements pluvieux provoquent alors un refoulement des eaux usées du collecteur et leur débordement dans l’impasse Kennedy et le quartier. Le Syndicat est interpelé en octobre 2000 afin qu’il remédie à la situation, parallèlement à un débétonnage des 500 mètres du lit mineur et des berges de l’Orge entre l’autoroute A6 et le pont de Savigny-Morsang. (5)
6 juillet 2001, un orage centennal éclate. Des pluies intenses s’abattent sur la vallée de l’Orge, et la région parisienne, à partir de 22 heures. Les ouvrages de rétention sont rapidement pleins, au maximum de leur capacité. Avec les prairies et les bois dans les zones d’expansion des crues, les dix bassins de retenue gérés par le SIVOA font leur office. Côté Yvette, la situation est identique. Des quartiers, toujours les mêmes, sont malheureusement inondés. Le système D est ressorti par les habitants. Les pompiers, les agents communaux et intercommunaux sont sur le pont, mobilisés… Les services de l’État s’appuient sur le SIVOA. Les rivières n’amorcent une décrue que le 8 juillet. Alors que la moyenne des précipitations annuelles est de 55,6 mm, celles de juillet 2001 est de 145,2 mm. (6)
Depuis 1995, c’est la dixième vague d’inondations pour Savigny-sur-Orge ! A chaque fois, le scénario est le même. De nombreux équipements publics et des immeubles d’habitation sont touchés ou mis hors service. Le groupe scolaire Kennedy, les logements des instituteurs, le gymnase, le foyer-logement sont évacués. Les immeubles collectifs sont soit évacués, soit reliés au monde via une sacro-sainte barque. Des garages, des parkings sont inondés avec perte des véhicules stationnés. L’état de catastrophe naturelle est de nouveau arrêté. (7)
En 2001, les dépenses pour les seuls biens publics se montent à plus de 1 100 000 francs, soit 167 694 euros. Savigny n’est toujours pas pourvue de digue anti-crue alors que le secteur touché est l’un des plus urbanisés. Le député-maire et son adjoint sont obligés d’intervenir régulièrement pour activer les études sur le sujet… Auprès du SIVOA et de la DDE, le 11 juillet 2001, Bernard MÉRIGOT demande que soit établi un programme de sécurisation du quartier Kennedy – Rossays comprenant notamment le rehaussement permanent des dessertes des équipements collectifs et privés sis en zone rouge du PERI. En juillet 2016, rien n’a été mis en place… (8)
En octobre 2001, l’inspection académique s’inquiète aussi de la répétition du phénomène, des conséquences morales sur le personnel enseignant, les enfants, les parents, des problèmes d’hygiène liés à l’extension des moisissures, de la sécurité des lieux et des occupants… Le directeur des services départementaux de l’Éducation nationale se préoccupe ainsi de la viabilité du groupe scolaire. « Quel avenir pour Kennedy ? », telle est sa question. (9) En juillet 2016, elle est toujours d’actualité. Rien n’a été prévu au plan local d’urbanisme (PLU) pour déplacer le groupe scolaire ! (10)
IV. Pourtant, la forte vulnérabilité des lieux est connue et reconnue !
La première étude hydraulique sérieuse est pilotée par la société Silène, mandatée par le SIVOA. Son rapport d’expertise est remis en mai 2002. Entre l’A6 et le pont de Savigny, l’Orge est canalisée dans une structure en dalles de béton. La zone aval est très urbanisée avec une forte proportion d’habitats collectifs, des maisons dont les fondations sont à moins d’un mètre du canal, des murets, des haies. La zone amont est davantage constituée d’espaces verts et arborés. L’artificialisation de l’Orge a supprimé les échanges entre le lit et les berges, entre l’eau et le sol. Les lignes de montée d’eau sont étudiées pour :
- une crue quinquennale (30 m3/s) : un parking de la tour des Rossays inondé, terrains en bordure du groupe scolaire sous quelques centimètres d’eau, caves, sous-sols et vides sanitaires inondés possiblement par retour des réseaux ;
- une crue décennale (35 m3/s, soit la crue de 1999, sachant que celle de 2001 concerne un débit moyen de 39 m3/s) : inondation de tous les terrains sous 20 à 30 cm d’eau ;
- et une crue centennale (56 m3/s) : inondation des terrains sous 1 mètre d’eau.
La stratégie d’aménagement suggérée par Silène au SIVOA est de répondre aux vulnérabilités de la rive gauche en période de retour 20 – 25 ans, type juillet 2001, avec une digue de 60 – 70 cm de haut, et 100 ans, avec une digue de 1,40 – 1,50 m. En rive gauche, si l’implantation de la première est envisageable, celle de la seconde s’avère irréalisable faute de place pour l’emprise au sol et l’incompatibilité avec la loi sur l’eau. Par ailleurs, l’endiguement du secteur suppose une forte incidence sur les zones non protégées en aval. Il nécessite également une gestion différente des eaux pluviales. (11)
Publiée en 2005 par trois universitaires, la seconde étude porte sur l’évaluation de la vulnérabilité aux inondations du bassin de l’Orge aval. Il est ainsi créé un outil d’évaluation qui « permet d’analyser et d’évaluer la vulnérabilité locale aux inondations urbaines selon plusieurs facteurs. Il s’agit de la vulnérabilité liée à l’aléa, la vulnérabilité de la population, la vulnérabilité du bâti, la vulnérabilité liée aux usages et la vulnérabilité liée à la gestion de crise. Chacun de ces cinq facteurs fait l’objet d’une grille d’analyse et d’évaluation qui permet d’élaborer des indicateurs de vulnérabilité à partir de listes détaillées de critères. Ces grilles, élaborées en concertation avec des praticiens, gestionnaires du risque, constituent un outil d’aide à la décision dans le cadre d’une gestion intégrée des zones urbaines soumises à inondation. » Trois sites tests ont été étudiés : le groupe scolaire Kennedy à Savigny-sur-Orge, le camping de Villiers-sur-Orge et le centre-ville piétonnier de Juvisy-sur-Orge. Que ressort-il de l’étude ?
- Pour le site Kennedy, « le graphique synthétique des vulnérabilités montre qu’il faut agir sur la population (conscience et information), le bâti (mal adapté) et la gestion du risque (mesures préventives et mesures d’urgence). »
- « La population concernée par le risque sur le groupe scolaire de Savigny-sur-Orge est évaluée plus vulnérable » que celles du camping villiérain et du centre-ville piétonnier juvisien. (12)
Enfin, la troisième étude est inscrite dans le cadre du programme PIREN Seine : « L’Orge, vers l’âge de la maîtrise écologique ? » (2010). Un collectif de chercheurs universitaires de Paris-Panthéon-Sorbonne et de Paris-Est s’est intéressé au rôle joué par l’urbanisation dans l’évolution de la rivière. L’imperméabilisation des sols des fonds de la vallée est remise en cause, de même le regard des élus. Ainsi, les événements catastrophiques mobilisent leur attention quelques temps, puis l’intérêt s’estompe : « L’année qui suit une crue, les élus sont en général bien motivés pour acheter des terrains ou changer leur POS, voter des budgets, etc. La dernière crue de l’Orge remonte à juillet 2001, la lutte contre les crues n’est pas une priorité » (Michel VALOIS, SIVOA, mai 2009). (13)
Le Syndicat a insisté auprès des élus pour que les PLU intègrent la zone de crue centennale. Un système d’alerte aux riverains a été créé avec des réunions publiques locales… Il y en eut deux à Savigny-sur-Orge, en mai 2011. (14) Ce n’est pas suffisant, elles devraient être renouvelées de façon systématique, chaque année. Le site Internet de la ville ne contient même pas les informations sur le sujet, ni en rubrique « Nos rivières », ni en rubrique « Sécurité » ! (15) Dans sa lettre à la préfète afin de demander la reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle suite aux inondations de juin 2016, le maire LR Eric MEHLHORN termine son rapport par « L’Alerte VIGI’ORGE auprès des riverains afin de leur demander de rester vigilants reste néanmoins toujours d’actualité. » (16) Peu de Saviniens connaissent ce plan Vigi’Orge, un système d’appel automatisé aux riverains qui alerte en cas de crue avérée. (17) Quel est l’impact en terme de communication ?
V. Quels travaux ont-ils été entrepris après les inondations de 2001 ?
Que s’est-il passé à Savigny-sur-Orge ? D’autres micro-phénomènes de crue ou de débordement des réseaux, mais pas d’élévation de véritable digue dans le secteur de Kennedy. Suite à la tempête de 1999, les peupliers ont été remplacés, soit par d’autres peupliers (dont le bois est « cassant » et résiste mal aux tempêtes), soit par d’autres essences d’arbres, plus résistantes. De nouvelles grilles ont entouré le groupe scolaire et le gymnase, légèrement sur-élevées avec une butte de terre de faible hauteur le long de l’Orge. (18)
Des discussions ont eu lieu entre les élus saviniens, les services techniques et le SIVOA. Ainsi, le 24 mars 2003, l’étude Silène est présentée au député-maire Jean MARSAUDON qui opte pour une digue de 70 cm de haut afin de protéger le secteur des crues dites vingtennales majoritaires. Il suggère la pose d’une alarme sur les parkings et l’équipement d’une passerelle d’accès à demeure pour la tour des Rossays. (19)
Le 20 novembre 2003, la commission « Eaux pluviales » du SIVOA se réunit avec pour premier point la lutte contre les inondations dans le secteur Kennedy : la protection pour des crues d’un retour de 20 – 25 ans est actée avec la construction d’une digue uniquement sise sur le groupe scolaire et le gymnase afin de ne pas modifier la ligne d’eau. Les membres de la commission considèrent la population comme étant apte à accepter l’inondation centennale comme un fait naturel (« habiter sur les bords d’une rivière constitue une chance, mais on subit aussi parfois les désagréments »). Et de poursuivre : si les habitants sont suffisamment informés, ils doivent accepter qu’un parking ou qu’une cour d’école soient inondés afin de mieux protéger les bâtiments publics ou d’habitation. Il est ensuite décidé que le coût de la « diguette » entourant le site scolaire Kennedy et les stations de relevage seraient à la charge de la commune… (20) Il faut attendre le 18 mars 2004 pour que ce dossier passe en bureau de l’exécutif du syndicat ! (21) Un an plus tard, la digue n’est toujours pas construite. Le député-maire ne peut se résoudre à ne protéger que les équipements communaux et offrir aux terrains des particuliers le sort de bassin inondable. Il suscite une nouvelle réunion le 31 mars 2005 entre les services de la ville et le SIVOA : la loi sur l’eau rend caduque le choix de Jean MARSAUDON, des variantes sont étudiées… (22) Nous en sommes là à ce jour.
Pour le secteur des Rossays – chemin des Franchises, le projet de PLU soumis à enquête publique en janvier 2016 mentionne l’existence d’une digue, celle dite « Joie de Créer ». Sous la responsabilité du Syndicat de l’Orge, elle serait d’une « hauteur maximale de 2,5 m environ. Elle protège une zone boisée, une douzaine d’habitations ainsi que le foyer pour personnes handicapées « Atelier Club Joie de Créer ». La population protégée est estimée entre 40 et 55 habitants sur une zone protégée de 6 ha environ. La digue est estimée de classe C. » (23) Cela n’a pas empêché le secteur d’être considérablement inondé six mois après l’enquête publique !
Pour le secteur du lycée Corot, même mention dans le projet de PLU : la « digue de la station de Savigny-sur-Orge, sous la responsabilité du Conseil Régional, présente une hauteur maximale de 1,45 m. Elle protège le lycée Corot et une population estimée entre 1 000 et 3 000 personnes. La digue est de classe B. Une étude est nécessaire pour mieux identifier la zone protégée. Le lycée a été récemment réhabilité en prenant en compte le risque inondation identifié dans le PPRI de la Seine. Ainsi, certains bâtiments ont été aménagés sur pilotis et d’autres aménagements ont été réalisés pour se protéger des inondations. Il n’existe pas aujourd’hui toutefois suffisamment d’informations pour juger de l’impact de ces aménagements sur la protection contre les crues de l’Orge. » (24) La dernière précaution d’écriture est intéressante car, effectivement, les travaux réalisés par le Syndicat lors de la renaturation des berges de l’Orge dans le parc Duparchy et le long de la promenade de l’Orge, à l’arrière du lycée, n’ont pas empêché qu’une partie de la cour de Corot et des rez-de-chaussées de bâtiments soient inondés. (25)
Les digues (en l’occurrence, on pourrait parler de « diguettes »), quelle que soit leur hauteur, ne répondront pas aux attentes protectrices des habitants puisque l’eau des rivières les contourne aisément et, surtout, elle est secondée par des remontées dangereuses des réseaux d’assainissement.
A suivre.
RÉFÉRENCES DE LA PARTIE II
1. L’ensemble de cet article a été réalisé à partir de documents publics ainsi que de fonds privés, notamment ceux de Bernard MÉRIGOT et des membres de l’association CAD. Les données historiques sont issues des recherches faites sous les directions de Bernard MÉRIGOT et de Sylvie MONNIOTTE-MÉRIGOT entre 1983 et 2009. Pour en savoir plus, se référer à l’ouvrage : Groupe d’étude sur l’histoire de Savigny-sur-Orge, Mémoire en images : Savigny-sur-Orge, Alan Sutton, 2008, 128 p.
2. SIVOA, L’Orge vive, Imprimerie Henry, 1995, 96 p. ; SIVOA, Carnet de route. 1977-2007, Imprimerie Cloître, 2008, 40 p. ; SIVOA, Colloque CNFSH « Gestion des crues sur la rivière Orge en zone urbaine, diaporama, juin 2009, 21 diapositives. Fonds privé BM/CAD.
3. SIVOA, Au fil de l’Orge, n° spécial « crue du 14 avril 1999 », n° 45, mai 1999, 5 p. (pdf) : 0. SIVOA Au fil de l Orge N45 Mai 1999 PERI. Fonds privé BM/CAD.
4. MÉRIGOT Bernard, « Les inondations à Savigny-sur-Orge », communication lors de l’assemblée générale 2001 de l’association Agir pour Savigny. Fonds privé BM/CAD.
5. MÉRIGOT Bernard, vice-président du SIVOA, intervention lors de l’assemblée générale du SIVOA du 25 octobre 2000. Fonds privé BM/CAD.
6. SIVOA, Rapport de crue et compte-rendu de l’astreinte présentés aux délégués du syndicat (pdf) : SIVOA Rapport de crue Orge 06-07 07 2001, SIVOA RAPPORT ASTREINTE 2001. SIVOA, Au fil de l’Orge, septembre 2001, 8 p. (pdf) : SIVOA AU FIL ORGE 2001. Fonds privé BM/CAD.
6b. Revue de presse 2001 : CRISTOFOLI Roberto, RAMNOUX Sébastien, « De gros dégâts en Ile-de-France », Le Parisien, 8 juillet 2001, p. 4 ; RAMNOUX Sébastien, « L’orage fait de gros dégâts dans toute l’Essonne », Le Parisien Essonne-matin, 9 juillet 2001, p. II ; B.M., « Orages : le département sous les eaux après des pluies records », Le Républicain, 12 juillet 2001, 3 p. (pdf) : LP LR INONDATIONS 2001-07.
7. Dossier de demande de reconnaissance de catastrophe naturelle suite aux orages des 6 et 7 juillet 2001, ville de Savigny-sur-Orge. Copie, fonds privé BM/CAD.
8. MÉRIGOT Bernard, Intervention lors de la réunion de la commission eaux pluviales du SIVOA, 11 juillet 2001. Fonds privé BM/CAD.
9. CHUDEAU Roger, Lettre au député-maire de Savigny-sur-Orge au sujet des inondations répétées dans la commune, 10 octobre 2001. Fonds privé BM/CAD.
10. Lire sur le présent site Internet les articles sur le plan local d’urbanisme de la ville de Savigny-sur-Orge parmi les articles figurant dans la catégorie suivante : http://portes-essonne-environnement.fr/category/urbanisme/plan-local-durbanisme-plu/.
11. Silène, L’Orge entre le pont de l’autoroute A6 et le pont de Savigny-sur-Orge. Étude hydraulique et de restauration des berges. Rapport, mai 2002, 31 p et annexes. Fonds privé BM/CAD.
12. BARROCA Bruno, LEFORT Émilie, POTTIER Nathalie, Analyse et évaluation de la vulnérabilité aux inondations du bassin de l’Orge aval, Septième rencontre de Théo Quant, janvier 2005, 12 p. (pdf) : TQ2005 ARTICLE 10.
13. Collectif C. CARRÉ, J.F. DEROUBAIX, J.C. DEUTSCH, J.P. HAGHE, B. DE GOUVELLO, N. BELAÏDI, A. CHARRIER, Une monographie de l’Orge. Vers l’âge de la maîtrise écologique ?, Programme PIREN Seine, 2010, 74 p. (pdf) : PIREN SEINE ORGE.
14. MÉRIGOT Bernard, « La prévention des inondations de l’Orge à Savigny-sur-Orge (I) », www.savigny-avenir.fr, 1er juin 2011 : http://www.savigny-avenir.fr/2011/06/01/la-prevention-des-inondations-de-l%E2%80%99orge-a-savigny-sur-orge-2011/.
15. Site Internet de la ville de Savigny-sur-Orge consulté le 26 juin 2016 et le 6 juillet 2016 (www.savigny.org).
16. Ville de Savigny-sur-Orge, Lettre du maire au préfet de l’Essonne, Demande de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle, 4 juin 2016, 7 p. (pdf) : SSO L EM PREF RECN 4 juin 2016.
17. SIVOA, Prévention des inondations. Guide pratique en cas de crue. Vigi’Orge, 2014, 8 p. (pdf) : VIGI ORGE.
18. Dossier technique sur le groupe scolaire Kennedy / inondations. Fonds privé BM/CAD.
19. Compte rendu de la réunion entre la mairie de Savigny-sur-Orge et le SIVOA, 24 mars 2003. Fonds privé BM/CAD.
20. SIVOA, « Compte rendu de la réunion de la commission eaux pluviales du SIVOA », 20 novembre 2003. Fonds privé BM/CAD.
21. SIVOA, Point 3.4 « Prévention contre les inondations de l’Orge à Savigny-sur-Orge sur le secteur Kennedy », Bureau du 18 mars 2004. Fonds privé BM/CAD.
22. Compte rendu de la réunion entre la mairie de Savigny-sur-Orge et le SIVOA, 31 mars 2005. Fonds privé BM/CAD.
23. et 24. Ville de Savigny-sur-Orge, Plan local d’urbanisme de Savigny-sur-Orge. Rapport de présentation, p. 98 (pdf) : SSO PROJET PLU 2016 RP.
25. Lire sur le présent site Internet les articles sur les travaux réalisés par le SIVOA : http://portes-essonne-environnement.fr/?s=parc+duparchy.
© Sylvie MONNIOTTE-MÉRIGOT, Marie LAPEIGNE, Bernard MÉRIGOT, 7 juillet 2016, 9 h.